Citations de Nancy Taylor Rosenberg (22)
Au fur et à mesure, elle pris conscience qu'elle avait, grâce au "secret" : le pouvoir.
.., je voulais te dire ... la vie continue... Ce n'est pas évident à dire, maintenant, mais c'est une loi fondamentale de l'existence.
C’est toujours la même histoire, vieille comme le monde : les gentils contre les méchants. Eh ! La première chose à faire, c’est de choisir son camp. Ensuite, on se demande quel bénéfice on peut en tirer. L’ennui, pour un flic, c’est qu’on ne tire jamais de bénéfice. C’est ça, la dure réalité… Pour nous, la seule façon de devenir célèbre, c’est de se faire descendre. Alors on inscrit votre nom sur une belle plaque de métal, qu’on affiche dans le hall.
Tout est bon si on n’en abuse pas, voilà l’essentiel de ma philosophie. Les médecins estiment qu’un verre de vin, de temps en temps, facilite la circulation, c’est bon pour les artères…
Quand une femme, célibataire de surcroît, voit arriver la quarantaine, l’anxiété prend chez elle des proportions considérables.
Les splendeurs de la nature ne l’avaient jamais beaucoup enthousiasmé, mais avec la condamnation qui lui pendait au bout du nez, il se demanda s’il aurait encore la chance d’admirer des couchers de soleil.
Pour sublimer le rapport sexuel et lui donner tout son sens, chaque partenaire doit ressentir le besoin, non seulement de contenter l’autre, mais aussi de le mettre en confiance pour qu’il rende la réciproque.
Un vol demeure un crime grave. On ne sait jamais quelle importance la victime accorde à l’objet dérobé. Ce peut être son seul bien.
Chaque fois qu’on tente d’améliorer les choses, un politicien s’empare de l’idée, l’utilise comme formule pour sa campagne électorale, et ça reste lettre morte.
Les voies du Seigneur étaient peut-être impénétrables, mais les êtres humains donnaient libre cours à leurs plus sales penchants.
Lorsqu’on a une gueule de vedette, qu’on possède un diplôme de Harvard et assez de fric pour demander à ses collègues de faire le boulot à sa place, on accepte mal que les événements ne prennent pas le tour qu’on voudrait leur donner, j’imagine…
Les meurtriers sans cervelle facilitaient grandement le travail des procureurs.
Richard était conservateur. Il respectait les traditions. Pour lui, lorsqu’on aimait une femme, on l’épousait. On lui restait fidèle. On lui consacrait sa vie. En revanche, quand on ne l’aimait pas…
Les femmes apprécient qu’on rampe à leurs pieds. Dès qu’elles vous sentent misérable, elles se hâtent de vous consoler.
Les criminels endurcis sentent la vulnérabilité des plus faibles.
L’alcool est une drogue à peine moins dure que la cocaïne.
Des centaines de SDF traînent dans les rues de ce quartier. Certains se prostituent même pour vivre. Avec des traits si féminins, il s’agit peut-être d’un homosexuel. Qui sait s’il ne racole pas les mecs pour quelques billets ?
Cette femme était bien celle qui le hantait jour et nuit, qui l’effrayait même un peu, et attisait cette flamme grâce à laquelle il se sentait vivant.
La vie ne nous fait pas que des cadeaux.
Une tentative de meurtre n’est pas un assassinat.