De sa grosse écriture d’écolier, il n’a pas peur d’apposer dans les marges de ce texte non chrétien ses commentaires dévots « Grâce », « Providence de Dieu », « Il n’y a point d’homme parfait », selon le principe que, de toute écriture, ce qui compte, c’est la lecture qu’on en fait. Jour après jour, il ouvre un peu plus le texte, le fouille, détache les phrases comme s’il les pelait. Ses pages deviennent aussi légendées que des planches d’anatomie.