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Critiques de Nathalie Wyss (62)
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De quelle taille est ton coeur?

Un enfant curieux part interroger tous les animaux qu'il croise sur la taille de leur coeur.



Chacun répond à son tour en formant, à la manière d'un haïku, un message qui contient à la fois son essence et toute la légèreté de l'être.



De la poule à l'ours, du cheval à l'éléphant, de la baleine au mouton, le jeune garçon découvre la richesse de toute cette biodiversité tout en saisissant la spécificité de chaque être vivant.



Après ce concert de la faune qui peuple notre environnement, il reste à préciser la place de l'homme...



Un bel album à la couverture solide et aux jolies pages épaisses qui jouent avec les teintes du pastel pour représenter en quelques éléments autant de milieux naturels différents.



J'ai aussi apprécié la conclusion qui semble nous enjoindre à replacer l'homme comme un composant parmi d'autres de cette Terre dont il lui revient aussi de prendre soin.



A découvrir !
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De quelle taille est ton coeur?

Un beau jour, un petit garçon s’interroge sur un sujet de la plus haute importance : de quelle taille est le cœur ? Il part donc aux quatre coins du globe pour poser sa question aux animaux qu’il rencontre, de la baleine à l’écureuil en passant par les moutons. Mais finalement, est-ce vraiment la taille qui compte ou plutôt ce qu’il y a dedans ? Un récit touchant à découvrir dès 4 ans avec cette question toute simple et pourtant… Le récit est superbement illustré, avec des textes courts et simples de compréhension. Un cœur gros comme un ananas, une noix, une main, tout est bien expliqué pour que chacun en comprenne le sens facilement. Une super idée de lecture pour tous les âges et tous les goûts qui ravira le grand public, à découvrir !
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De quelle taille est ton coeur?

Dans cet album agréablement illustré, l'interrogation de l'enfant le conduit à passer en revue la faune et la flore des quatre coins du globe. Une occasion pour lui de s’évader, donc.
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L'allumeur de réverbères

Un livre rempli de douceur, une histoire pleine de tendresse qui nous fait voyager ! A lire absolument.
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L'allumeur de réverbères

Une magnifique histoire d'amour et une très belle aventure dans la ville imaginaire de Luz, avec des personnages charmants qui tentent, tant bien que mal, de poursuivre leurs rêves. On en ressort avec la tête remplie de belles images.
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L'allumeur de réverbères

Un très beau roman poétique et plein de tendresse qui se traîne en longueur dans quelques passages mais qui offre de très beau moments d’intrigues et d’écriture. Nos jeunes héros, remplis de devoir et de sévérité sont un bel exemple de jeunesse qui ne cherche qu’à s’épanouir. Ce message, adressé de façon très tendre à nos jeunes lecteurs envahi le cœur et se retrouve propulsé avec d’autant plus de force que l’écriture rajoute une part d’onirisme.



Tobi est le fils de l’éclaireur de réverbères de la ville de Luz. Ville scindée en deux puisque les quartiers pauvres n’ont pas le droit, eux, d’être éclairés. Suite à sa rencontre avec Sidonie, Tobi décide d’éclairer les rues pauvres, quitte à défier le Gromicrout…



Un scénario bien ficelé qui s’organise en deux grandes parties sans pour autant perdre en fluidité. Une galerie de personnages très bien croqués, que l’on sent prendre vie à nos côtés. L’imaginaire et l’originalité du scénario permettent de partir dans un autre monde, une autre ville, pourtant proche de notre quotidien.



En suivant le chemin initiatique de Tobi, on part avec lui faire des choix, se dresser contre la volonté du destin, vouloir faire des compromis avec ses parents, tenter de s’émanciper pour vivre son avenir. Livre tendre et poétique, c’est aussi un roman dur qui retranscrit les moments tragiques que l’on ressent quand la vie ne nous laisse pas écouter notre cœur.



Un roman qui m’a touché et que la très belle écriture de l’auteur a su mettre en valeur.
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L'allumeur de réverbères

A la grise ville de Luz, c'est d'un faiseur de miracles dont Tobi aurait besoin.



Il n'y a pas de magicien au pays de Luz.



Il y a en revanche un inventeur.







Tobi a justement besoin de donner vie à l'imagination qu'il a fait sortir de sa petite tête, rendre vie à son mensonge malheureux.



" Sais-tu allumer une bougie en soufflant dessus?". Tobi n'a pas su dire non à Sidonie.







Pour lui plaire, pour ne pas éteindre les petites flammes dans ses yeux peut-être, sans doute les deux.



Tobi a promis un monde plus éclairé à Sidonie.



De son côté de la ville en tout cas.





Allumeur de réverbères, c'est un métier que le père de Tobi espère lui céder à son grand désintéressement.



Tobi aurait bien d'autres idées à proposer, qu'il n'y a pas besoin d'inventer.



Là où habite Tobi, les rues sont plus cossues, c'est ici que vit son imposant dirigeant, surnommé le Gromicrout.



Seules ces rues sont portées à la lumière par les réverbères, chaque soir.



La petite Sidonie a peur du noir.



Comment le jeune garçon pourrait-il lui promettre la lune et contrevenir à la règle de la ville tandis que la lumière est interdite du côté le plus désoeuvré de la ville où habite Sidonie?



L'amour rend idiot ou...tend à redonner de l'espoir malgré soi.



Les habitants des rues éclairées ont aussi peur du noir.



L'affaire d'une superstition dont il faut absolument faire la démonstration.







Le coeur des jeunes personnages semblent percer la grisaille omniprésente de la ville.



Malgré une touche de tristesse qui flotte dans l'air, un petit nuage comme une goutte d'encre de chine dans l'eau d'un verre, il y a de la poésie à Luz.



Elle est l'oeuvre de l'auteure, Nathalie Weiss.



Son histoire fantastique nous donne l'impression d'un vieux film en noir et blanc où les couleurs ont été chassé.



L'auteure nous laisse seul juge des éventuelles circonstances qui ont placé la ville entière sous des nuages gris qui voilent le soleil le jour et les étoiles la nuit.



C'est ainsi.



Il n'y a pas plus de bout de nature que de couleurs, la grisaille s'est étendue comme un voile de nouvelle inspiration pour décorer les maisons et les textiles de toutes sortes.





La rencontre de l'inventeur (qui se néglige un peu pour la Science au profit de son pigeon de salon) et Tobi semble faire tilt, voire même eureka.



Il y a des toutes petites touches d'humour au milieu de ce paysage.



L'auteure fait intervenir avec drôlerie et délicatesse des éléments bien connus de ce champs lexical lumineux qu'elle utilise comme fil d'Ariane dans cette ville où il ne faut pas se perdre le soir.



La science va t-elle sauver la ville de Luz de la folle panique d'être plongé intégralement dans le noir?



La lumière de Luz sera t'elle bientôt un service démocratique?



Gare au Gromicrout qui rôde et qui défie de son doigt pointé.



C'est ainsi et pas autrement, assoie t-il sa décision.







Oups!



Ne vous a t-on pas dit?



Les lumières sont toutes éteintes.







Un roman plutôt chouette, avec clairement (voici que cela me prend également) de bonnes idées.
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L'allumeur de réverbères

Tobi accompagne son père, allumeur de réverbère, comme cela se transmet de génération en génération dans la famille. Mais dans cette ville de Luz qui ne voit jamais le soleil et les étoiles, seules les rues des quartiers riches sont éclairées. Alors quand Tobi rencontre Sidonie dans les rues pauvres, celle-ci lui raconte comme le noir l'effraie et l'empêche de dormir. Il lui promet alors de lui apporter la lumière...



Ce livre offre une plongée dans un univers atypique, où la noirceur côtoie les rêves d'enfants. L'écriture est riche et poétique, l'imaginaire foisonnant. L'atmosphère pesante qui se dégage peut mettre mal à l'aise et les jeunes lecteurs peuvent se perdre un peu dans les dédales du récit mais c'est une expérience de lecture intéressante à vivre !
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L'allumeur de réverbères

Une jolie histoire d'amour pleine de tendresse, avec des personnages attachants. Racontée avec une écriture douce qui plaira aux petits et aux grands.

A dévorer du début à la fin!

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L'allumeur de réverbères

Livre magique qui nous emporte dans un autre monde intriguant. Histoire bien ficelée et remplie de tendresse. À lire absolument !
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L'allumeur de réverbères

Dans la famille de Tobi on est allumeur de réverbères de père en fils. Le jeune garçon est un peu rêveur, lui il se serait davantage vu ingénieur, mais il aide malgré tout son père à allumer les réverbères dans les quartiers les plus riches de Luz. Jusqu’au jour où il se rend par curiosité dans les rues pauvres où il croise Sidonie. Il est immédiatement séduit par cette jeune fille et s’arrange pour passer de plus en plus de temps avec elle. Mais Sidonie a peur du noir, à Luz il n’y a jamais ni soleil, ni lune, ni étoiles et comme son quartier n’est pas éclairé elle décide de partir rejoindre la mer. Tobi est désespéré, son projet est d’illuminer toute la ville pour la faire revenir. Sauf que le dirigeant de la cité y est fermement opposé.

Un petit roman plein de poésie et de douceur, bien que les habitants de la ville vivent dans un monde sombre empli de peur.

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L'allumeur de réverbères

Un livre poétique mais un peu désuet et dont l'histoire part un peu dans tous les sens. Je doute que cette lecture passionne grandement les collégiens.
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L'allumeur de réverbères

Tobi doit comme son père devenir allumeur de réverbères dans une ville où seul le quartier riche se doit d'être éclairé.



Sa rencontre avec Sidonie, une jeune fille qui vit dans la zone pauvre et qui a très peur du noir lui fait promettre de donner la lumière à tous.



Lorsque son père tombe malade, Tobi doit prendre en charge son travail ce qui reporte son projet libérateur et éloigne la jeune fille.



Il va alors chercher de l'aide chez l'inventeur...



Un roman dense et poétique à l'image de la jolie couverture du livre.



L'histoire est riche. Le personnage principal va se retrouver de plus en plus isolé et il va devoir faire des choix et prendre des responsabilités.



Le livre évoque la question de l'héritage du métier de ses parents mais aussi celle de la peur, et des traditions dont il faut s'affranchir.



Un récit initiatique emprunt d'images poétiques avec l'amour comme moteur du changement.



A découvrir !
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L'arrêt de bus

Cet album jeunesse est une belle histoire de rencontres, d’attention de l’autre, de soutien et d’acceptation de la différence. Monsieur Henri décide de s’occuper du sort de l’éléphant, de lui trouver une place dans ce monde urbain. Mais les deux nouveaux amis se confrontent au refus des autres. Les personnages, comme les bus alentours, forment une foule sans visage, sans véritable expression. Seul le mouvement les intéressent. Monsieur Henri et l’éléphant sont hors des codes de ce monde et figés au milieu de la vitesse et de l’accélération.

Les dessins de Juliette Lagrange composent un environnement fermé où tout se bouscule. Les uns vont dans le sens contraire des autres. Ils se croisent mais ne se rencontrent pas. Dans cette euphorie visuelle, il y a une certaine matière par les ombres. La nature laisse une trace. Les feuilles, les branches, les arbres marquent les visages, les pavés, les bolides de la ville. Ces ombres se mêlent aux pavés du sol, ajoutant au mouvement global des illustrations.

C’est dans la joie et le partage que les deux amis ne se perdent pas et poursuivent ailleurs leur belle entente. Il leur semble que l’amitié est plus belle au soleil.
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L'arrêt de bus

L’arrêt de bus est un album très touchant, d’une grande tendresse. Il parle de solitude, d’amitié qui se noue, en toute simplicité. Le monde que voient passer Monsieur Henri et son ami l’éléphanteau, c’est celui de la ville, qui ne s’arrête jamais, c’est celui du cirque et du zoo, qui enferment les animaux, c’est celui qui les fait se sentir seul au milieu de l’agitation. Les dessins de Juliette Lagrange ont beaucoup fait à la tendresse que j’ai éprouvée en rencontrant ces deux beaux personnages. La chute conclut sur la notion de famille, mais celle qu’on choisit. Un album d’une grande douceur.
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L'arrêt de bus

Humour, amitié, solitude et solidarité, joie mélancolique et vitalité, un album à lire et relire. Une invitation à regarder autour de soi ; un livre cocasse et précieux
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L'arrêt de bus

A l'arrêt de bus, tous les jours se ressemblent, saison après saison. Monsieur Henri vit là, et sa présence n'étonne plus personne, peut-être même qu'on ne le remarque plus. Le vieil homme a la surprise de découvrir un jour un éléphanteau perdu, qui se met à partager son abri, jour et nuit. Cette histoire d'amitié, d'acceptation de l'autre, de générosité, parle aussi de solidarité et d'humanité. Un album doux, qui réchauffe le cœur.
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L'arrêt de bus

Jolie histoire et jolies illus mais structure d'histoire très classique et un peu trop de textes et de redondance par rapport aux illus. Ce serait plus touchant si on laissait plus parler les images. Dommage parce que le thème est intéressant et très actuel.
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L'arrêt de bus

Grand coup de cœur pour ce bel album tendre, délicat et drôle en même temps ! Et avant toute chose, nous avons trouvé magnifiques les illustrations en aquarelle de Juliette Lagrange. Elles emplissent les pages du livre, elles débordent presque en doubles-pages, forçant parfois notre regard à chercher le texte. Elles fourmillent de détails, offrent leur grande variété de couleurs et de mouvement, font des clins d’œil aux nuits de Van Gogh, comblent notre envie de nous y promener et de n’en rien perdre, notre envie d’être celui ou celle qui, en ouvrant le livre, fera attention à tout. Le livre est, déjà dans les dessins, un éloge de l’observation, une invitation à prendre le temps de regarder. Ce qui sera un des messages de cette histoire.



Les illustrations sont très belles et servent un texte qui est beau lui aussi, très littéraire et poétique, tout en restant simple et accessible. C’est un texte court qui dit beaucoup en peu de mots, au travers duquel on entend les non-dits et une musicalité certaine : « Il vivait au rythme de la musique des bus. Les freins qui crissent, les portes qui s’ouvrent et se referment dans une ritournelle infinie. » Un texte qui laisse la porte grande ouverte à l’illustration, comme par exemple cette double-page où l’on ne voit en gros plan que les jambes et les pieds des gens qui passent devant l’arrêt de bus, « légers », « pressés » ou « fâchés ». Il y a là un travail commun de grande qualité, partagé entre l’autrice, Nathalie Wyss, et l’illustratrice.



Dans cette histoire, il est question de solitude. Dans les villes, certaines personnes, les plus humbles, sont invisibles. Il n’est pas dit que M. Henri est un SDF. On sait juste qu’il « vit » à cet arrêt de bus, quelle que soit la saison, le jour comme la nuit. Il est peut-être là uniquement pour se donner l’illusion de vivre parmi les autres, ceux qui passent, ceux qui prennent le bus, ceux qui courent toujours, ceux qui sont ensemble. Pour regarder les autres vivre. Car lui par contre, il est attentif et observe tout. L’apparition de l’éléphanteau se fait en douceur, en tendresse et en poésie, comme s’il était tout à fait normal qu’un éléphant débarque ainsi en ville sous un abri de bus, dans l’indifférence générale. Il « semblait porter une peine plus grande encore que celle des immeubles alentour ». Alors, comme M. Henri, nous l’aimons tout de suite. Et le miracle, grâce à lui, va s’opérer. En prenant soin du petit éléphant – et lui seul le fait parce que lui seul a été attentif au chagrin de l’animal – M. Henri se réapproprie sa vie, il retrouve une dignité, une raison de vivre. L’abri de bus devient leur îlot de tendresse. Ils y prennent soin l’un de l’autre. Et cela change tout.



Lorsque M. Henri, personnage si attachant, décide de suivre le troupeau, c’est un envol, quelque chose de léger et de festif malgré le poids du troupeau, c’est la fin de la solitude, de l’anonymat, le début d’une nouvelle vie avec une famille d’adoption qu’il s’est choisie.

C’est en fait une belle histoire de résilience, de solidarité, et le message est important à transmettre : N’oublions pas de regarder autour de nous. Soyons attentif aux autres et aux petites choses de la vie, arrêtons parfois de courir la tête baissée…Sachons regarder autour de nous.

Ce message est peut-être plus urgent à passer aux adultes qu’aux enfants. Car regardons bien les dessins de la première et de la dernière page de l’album. Qui se cache sous la délicatesse du mot « presque » ? Un petit garçon au pull à rayures rouges, que nous n’aurions peut-être même pas remarqué au premier abord ! Mais les enfants, oui…








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L'arrêt de bus

Un abribus.

C'est un lieu très banal, un point d'attente et de rencontres où l'on veille surtout au bus qui doit arriver, sans y attendre qui que ce soit la plupart du temps car on n'a pas le temps.

Notre personnage principal , un vieil homme, restera assis là, à l'abribus, comme d'autres seniors prendront le soleil sur le banc d'un parc.

Et le temps passera sans qu'aucun ne fasse attention à lui.

Sans doute attend t-il quelqu'un ou bien le bus puisque c'est un abribus?

Il faudrait vraiment qu'il pleuve des éléphants pour que cette routine se brise sérieusement.



Et bien justement arrivera un éléphant à cet abribus.

À qui est-il?

Si la routine est parfois triste à imaginer, les illustrations urbaines de Juliette Lagrange donneront de la beauté de la chose, un air de promenade contradictoire.

La ville est belle ici, dans ce paysage de gens pressés.

Mais à qui est cet éléphant?



Le décalage de cet animal, aussi perdu qu'un chien domestique, donnera aussi dans la rupture: c'est plus drôle, surréaliste.

Le banal prendra d'autres couleurs.

L'imaginaire transformera la solitude de Monsieur Henri, lui-même abandonné par le quotidien sur son abribus.

L'idée est touchante, impossible.

L'auteure Nathalie Wyss tentera probablement de rendre grace aux oubliés, aux invisibles.

Peut-être que les jeunes lecteurs après seront juste tentés de leur offrir au moins un "bonjour monsieur", peut-être est-ce cela qu'ils attendent finalement?

La suite sera tendre et bigrement amicale.



De la délicatesse et de la drôlerie, beaucoup de fraicheur dans les aquarelles qui reprennent les angles de ville à l'identique d'un carnet de voyage.

Eléphants mis à part, c'est très humain finalement.

On a aimé.
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