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Critiques de Océane Perona (31)
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Celles qui peuvent encore marcher et sourire

" Est-ce que vous pourriez m'expliquer ce qu'est un viol, avec vos mots à vous, s'il vous plait ? "



Tout au long de son premier roman, Celles qui peuvent encore marcher et sourire, Océane Perona pose la question du consentement. Elle nous plonge au coeur du quotidien d'un service de brigadiers spécialisé dans les violences se3uelles. La force de ce premier roman tient à la pluralité des points de vue : les brigadiers, les victimes, les accusés sous l'oeil d'Ophélie, sociologue en stage depuis trois mois.



L'autrice démontre par plusieurs aspects, une multitude de facettes des violences se3uelles. Elles présentent plusieurs plaignantes pour insister sur la diversité des situations de vi*ls telles qu'elles surviennent dans la réalité. Il y a des vi*ls d'une violence physique inouïe accompagnés de dix coups de couteau. Mais un vi*l, ce n'est pas toujours quelque chose de spectaculaire, il n'y a pas toujours de preuves. L'autrice nous prouve qu'il n'y a pas qu'un seul profil de vi*leur, que les vi*lences se3uelles, ce sont aussi des vi*ls conjugaux sans violences physiques caractérisées ou encore un étudiant ivre qui s'octroie le droit sur le corps d'une amie inconsciente, une femme vulnérable de soixante-six ans dans un EPADH car non, " il n'y a pas de retraite pour les victimes ", un collègue qui n'a pas le même humour que sa victime… Les agresseurs ne sont pas que des petits chauves ou des fous pervers, c'est un mari, un ami respectable, un collègue un peu vieux jeu, un patron qui perd le contrôle, un soignant qui se sert de la vulnérabilité de sa patiente…



Enfermé dans un huis clos (on ne sort pas physiquement du service de police), le texte est une succession de retranscriptions de faits et de pensées omniscientes de la stagiaire, entrecoupées d'auditions, de dépositions et de dialogues. Il n'y a pas de souffle dans l'écriture d'Océane Perona, pas de saut de ligne, ni de paragraphe qui viennent aérer ce qui est raconté. Cette écriture est factuelle et ça apporte une dimension immersive très maîtrisée. On a une sensation d'ultra réalisme, de non-fiction. Elle m'a embarquée, je me suis sentie vraiment impliquée dans la lecture. Ça fuse, c'est cru, c'est intelligent et je n'aurai pas imaginé que cette écriture puisse être aussi émouvante.



Celles qui peuvent encore marcher et sourire est un roman fracassant coup de poing très singulier qui doit être lu!



GROS TW : descriptions de vi*ols, violences physiques et psychologiques, traumatiques et séquelles.



** Lu dans le cadre du Grand Prix des Lectrices Elle - lauréat avril, catégorie " Polar "
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Celles qui peuvent encore marcher et sourire

Chaque jour, il faut recueillir les témoignages, écouter la détresse de ces femmes victimes de viols. Au détour d’un couloir, y croiser également les suspects, les agresseurs. Et puis, Héloïse, Julien, Manuel, Grégory, enquêteurs. Sans oublier Océane, jeune sociologue stagiaire. Les voix s’alternent au fil du récit, au rythme des plaintes, au son des auditions et des portes qui se ferment.



Une immersion sans filtre dans ce texte glaçant de vérité. Ça fait mal, ça bouscule et perturbe. Océane Pérona met sur table le quotidien d’un service de police spécialisé dans les agressions sexuelles. Tout y est : la prise en charge des victimes, la recherche de preuves, les défaillances policières, l’ignorance de la société, les manquements de la justice et j’en passe !

Ce texte dérange et c’est pour cela qu’il faut que chacun le lise. La route est encore longue pour que la justice reconnaisse les victimes d’agressions sexuelles et condamne les coupables.

Tapons du poing. Crions. Pour elles !



http://www.mesecritsdunjour.com/2024/05/celles-qui-peuvent-encore-marcher-et-sourire-oceane-perona.html




Lien : http://www.mesecritsdunjour...
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Celles qui peuvent encore marcher et sourire

De prime abord, je n'aurais pas forcément acheté ce livre. Je préfère les romans d'amour de base... Mais j'ai accompagné ma tante au Quai du Polar, l'auteure m'a interpellée et m'a présentée son premier ouvrage. J'ai tout de suite été intéressée par le thème abordé : les violences faites aux femmes. Et je remercie l'auteure de m'avoir donné la chance de découvrir son premier roman.

Nous suivons Ophélie, une doctorante en sociologie qui prépare sa thèse grâce à un stage au sein d'un service de la police.. ce service s'occupe des violences faites aux femmes...

En plus de suivre plusieurs affaires de violences, de viols et de meurtres, nous suivons les membres de l'équipe de police.. les caractères et les réactions de chacun et de chacune! J'ai vraiment beaucoup aimé découvrir cet univers et ces personnages. D'autant que, l'auteure, Océane Perona, a elle aussi étudié la sociologie... On se rend vraiment compte que chaque personnage est vrai !

Je recommande et j'espère lire très bientôt un prochain roman!
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Celles qui peuvent encore marcher et sourire

Nous sommes dans un commissariat, pendant une semaine, au sein du groupe Violences, chargé d'enquêter sur les agressions sexuelles et les viols. Héloïse, 31 ans, est la seule femme du groupe mise à part Ophélie, qui est en stage pour trois mois, afin de préparer sa thèse en sociologie. Héloïse se sent particulièrement concernée par le cas de Laura, violée et laissée pour morte.

Ce primo-roman est remarquable à bien des égards. Catégorisé polar, il se présente plus comme une sorte d'enquête journalistique que comme un roman. Nous sommes immergés au milieu des policiers, des victimes et des présumés agresseurs. Nous entendons tous les points de vue, sans filtre.

Personne n'est idéalisé, c'est la réalité brute et sordide des agressions sexuelles mais aussi des policiers, pour certains blasés, écœurés, misogynes, compatissants. L'auteure nous offre une variété de situations violentes pour montrer qu'il n'y a pas qu'un type clairement identifié de viols. D'ailleurs, l'auteure fait poser aux agresseurs par les policiers et indirectement nous fait poser à nous lecteurs/trices la question : "qu'est-ce qu'un viol?" et les réponses prêtent à réflexion. A travers la multitude de ses personnages, elle nous fait prendre conscience qu'il n'y a pas non plus un type de victimes (épouse violée par son mari, étudiante violée par un copain d'université, femme jeune seule dans la rue, femme plus âgée dans un bar...).

Ce roman est également remarquable par sa construction narrative qui est un peu déstabilisante au début mais qui nous happe très vite : un "tu" qui s'adresse à Héloïse, le "je" d'Ophélie qui raconte ce qu'elle découvre avec son œil extérieur et un "vous" qui s'intercale à intervalles réguliers sans que l'on sache à qui il s'adresse (on ne le découvrira qu'à la fin).

Remarquable par les thèmes abordés, sans sensationnalisme, sans voyeurisme, sans langue de bois, avec franchise : les violences faites aux femmes bien sûr mais également le nombre très élevé de plaintes classées sans suite, la place des femmes dans la police, les réflexions racistes ou misogynes de certains policiers, le manque criant de moyens (fuite dans les WC, ascenseur en panne, des ordinateurs antédiluviens, un logiciel spécifique qui "plante" en permanence).

Remarquable enfin par le style brut, cash, parfois orduriers de tous les acteurs, victimes, agresseurs, policiers et par cette ironie mordante, cette sorte d'humour noir qui irriguent tout le roman; le rythme est tendu, vif comme doit l'être probablement la vie dans un "comico".

L'auteure est sociologue et a rédigé une thèse, en 2017, sur la place du consentement dans les enquêtes policières ce qui explique probablement que ce roman soit d'une vérité criante.

Un primo-roman remarquable, singulier et très maîtrisé, sortant des sentiers battus. Bravo à Océane Pérona que je ne manquerai pas de suivre si elle continue dans cette voie.



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Celles qui peuvent encore marcher et sourire

En immersion dans le service Violences de la police pendant trois mois, Ophélie, doctorante en sociologie va devoir affronter bien pire que des démons ! Chaque jour, les collègues se relaient pour auditionner et recueillir les mots de femmes qui ont été violées dans des procès-verbaux. Pour Héloïse, dernière arrivée à la brigade Violences, difficile de rester stoïque face à la détresse de ses femmes et au calvaire qu'elles ont subi, surtout quand elle sait que la plupart des plaintes seront classées sans suite. Héloïse est la seule femme présente dans la brigade. Son poste est crucial puisque les femmes sont susceptibles de se confier à une figure féminine plutôt que masculine. Elle doit, par la suite, faire les redescentes à ses collègues. Et on peut dire que le service est animé ...



La force du roman réside dans cette pluralité des voix et ce "tu" accrocheur. L'auteur nous interpelle, nous alpague, nous scotche avec ce "tu" intimiste et à la fois malaisant. Il place le lecteur comme potentiel équipier de brigade ou victime potentielle. C'est à la fois déstabilisant à la lecture et à la fois, novateur et captivant. Ce premier roman ne laisse pas de glace. Des paragraphes entiers qui se suivent comme débitées, comme une urgence à coucher les mots. Un sentiment que le lecteur perçoit par ses longues phrases et ce rythme soutenu.

Une hésitation quand à la classification du roman qui oscille entre le témoignage d'une immersion au sein d'un service policier et l'enquête policière. Une auteure à suivre de près !
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Celles qui peuvent encore marcher et sourire

L’actualité nous montre que beaucoup de femmes qui portent plainte pour viols sont une part infime de réelle de victimes. On dit aussi que souvent les victimes sont peu ou pas entendues, qu’il y a finalement peu de cas où les auteurs de ces faits sont arrêtés, pour faute de preuve ou autres.



Dans ce roman, l’autrice nous amène au sein d’un commissariat dans le service où sont traités les plaintes et où sont entendus les victimes et les suspects. Et là, on est dans le dur, on est dans la réalité. Pas de sentiments, d’émotions, tout est purement administratif, il faut prendre du recul pour pouvoir entendre chacun d’entre eux, sans parti pris.



L’autrice nous présente plusieurs affaires ou en tout cas, plusieurs cas où ces victimes et suspects sont entendus : en les écoutant tour à tour, je reconnais qu’il est difficile de savoir qui dit vrai, qui dit faux. La parole de chacun doit être écouté, autant de la victime que du suspect. On ne peut pas généraliser : tous les hommes ne sont pas des violeurs ou des agresseurs.

Ce service a la particularité de n’avoir qu’une seule femme : les autres intervenants sont des hommes. J’avoue qu’en lisant ce livre, cela ne m’a pas choqué plus que ça mais en réalité, Héloïse, la seule enquêtrice femme, intervient pour écouter la victime, sauf quand les femmes veulent être écouté par un homme (et a priori, ça arrive). Elle est une figure forte du service, dans le sens où elle dit ce qu’elle pense à ses collègues, même s’ils ne sont pas d’accord avec elle.



L’autrice alterne chapitre après chapitre des histoires parallèles : les auditions au commissariat, le mal-être de Héloïse et une histoire d’une femme qui a été victime de viols. Le premier chapitre est d’ailleurs assez perturbant car il s’agit de la vie quotidienne de Héloïse : l’écriture est surprenante car les phrases sont longues, comme débitées, comme parlées. Le mystère du mal-être de Héloïse nous est donné, là encore, de manière brute. Ce mal-être qu’elle ne semble avoir que dans sa vie privée et non au travail, comme s’il s’agissait pour elle d’une échappatoire.



Le roman se lit très vite. Une fois prise dedans, les témoignages m’ont emportée et je l’ai terminé en 2 jours à peine. C’est un livre marquant pour ce sujet très sensible, c’est un roman coup de poing, dont on ne peut que se souvenir.



Je remercie les éditions Julliard et Netgalley pour cette lecture.



#Cellesquipeuventencoremarcheretsourire #NetGalleyFrance

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Celles qui peuvent encore marcher et sourire

La libération de la parole des femmes concernant les violences sexuelles avance, mais souvent, on ne les entends pas. Ou trop peu. Ou mal. Alors si on ne peut pas écouter, lisons-là.

Ce récit au sein d'une brigade de police qui traite justement de ces violences sexuelles est brillament réalisé, et donne à voir un monde moins manichéen qu'on pourrait l'imaginer. Les hommes sont plus ou moins des porcs, peut-être, mais pas tous. Et les femmes sont souvent des alliées, peut-être, mais pas toutes. Dans ce récit, personne n'est tellement parfait qu'on ne peut s'y reconnaître, chacun a ses failles, et chacune aussi.



Pour autant, il dit. Clairement. L'autrice met le doigt sur beaucoup de "travers", sur les mots trop dits, trop pensés dans le cadre d'une agression, ou d'un viol. Les mots qu'on sait ne pas devoir dire et pourtant. Les idées qu'on sait ne pas devoir avoir et pourtant.



Je crois que ce récit est une réussite sur le plan de l'explication de ce monde actuel. Pour autant je mets un petit bémol sur l'écriture parfois trop plate, et d'autres fois faussement émotionnelle. Mais bon, pour un premier livre d'une autrice qui vient de l'écriture académique, il vaut le coup. Réellement.
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Celles qui peuvent encore marcher et sourire

Mais quelle claque que je viens de recevoir, heureusement que j'ai le cœur bien accroché !



Avec un style précis où l'intériorité s'exprime Océane Pérona donne la parole aux femmes. Ces femmes qui sont "victimes"; celles qui les écoutent; et surtout celles qui continuent à vivre malgré tout.



Dans cette fiction, on entre les deux pieds joints dans le quotidien -scabreux et nauséeux - d'une unité policière dédiée aux "violences sexuelles". On y côtoie Héloïse, l'enquêtrice insomniaque, entourée de ses collègues masculins. Il y a aussi Ophélie, la stagiaire en sociologie -le premier métier de l'auteure- et toutes ces femmes -et aussi ces hommes- qui se sont, un jour, retrouvés assis dans le bureau du policier.



Ce même enquêteur qu'on n'est pas toujours content de voir, et qui devra ensuite "faire parler son 6ième sens", et parfois subir les classifications 71-21-11-41-42.



Chaque affaire est unique -on le découvre en tournant les pages- et reflète tantôt une mémoire traumatique, tantôt un agression imbibée, ou encore un débordement à prouver car ici, c'est "parole contre parole".



Une plongée vertigineuse dans les bas-fonds de notre humanité -perdue- qui impulsivement à dévié.



Attention, rien dans cette fiction "réaliste" ne nous est épargné; cependant le style employé nous permet de ne pas être trop impliqué.



C'EST POUR TOI SI : Tu ne vomis pas la dégénérescence humaine. Tu veux croire que ça existe encore des personnes bien parmi nous.



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Celles qui peuvent encore marcher et sourire

Livre lu dans le cadre de l’opération Masse Critique de Babelio, que je remercie - avec les éditions Julliard - pour l’envoi :)



Quelle claque ! La couverture m’a tout de suite attirée en plus du sujet. Et j’ai été agréablement séduite par la plume originale d’Océane Perona.



Bienvenue au groupe violence de la police qui accueille et traite essentiellement les affaires d’agressions sexuelles.

De nombreux livres existent sur le sujet sauf que cette fois, le récit se préoccupe plutôt de ces violences au sein de la police directement. Ici l’auteure se démène pour retranscrire - avec force - ces comportements infects, comme les commentaires déplacés, le manque de bienveillance envers les victimes…



L’histoire est vraiment prenante, les points de vues alternent entre Héloïse, OPJ au sein de ce groupe et Ophélie, stagiaire en étude de sociologie dans le cadre de sa thèse. Le roman en ressort brillamment construit. Plusieurs affaires sont retranscrites et analysées par l’étudiante en étant pourtant à chaque fois toutes profondément différentes et terrifiantes.



J’ai énormément aimé ce premier livre d’Océane Perona, il est audacieux et m’a bouleversé par ses révélations.



L’auteure réussit à mettre en perspective les défis et problématiques de la justice face aux victimes mais également les nombreux dysfonctionnement qui résultent d’un manque d’empathie total envers ces femmes. Pourtant, - à mon sens c’est là que se trouve toute la finesse du roman - on ne ressort pas de cette lecture déprimé par la justice : il y a des personnes qui aiment leurs métiers, qui sont patientes et qui écoutent - entendent - les victimes.



C’est un livre très fort et intéressant, ravie de l’avoir découvert et je ne l’oublierais pas de sitôt ! Je me répète mais j’ai été très sensible à la fin de ce roman, même si c’est de la fiction, cela est malheureusement la vérité de beaucoup trop de femmes, alors courage à toutes celle qui peuvent encore marcher et sourire malgré les drames vécus.

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Celles qui peuvent encore marcher et sourire

Encore un roman qui s’est lu très rapidement.

Oui, en ce moment j’enchaîne les lectures.

J’ai passé un bon moment de lecture. Il y a tout de même certaines choses qui m’ont un peu chiffonné, mais je crois que je suis tatillonne sur certaines choses.

La narration est assez particulière, je ne veut pas trop vous dire pourquoi mais ça ne m’a pas trop perturbé, juste un peu surprise. Malgré cette narration, je n’ai pas eu beaucoup d’empathie envers les personnages. Il y a aussi certains passages où les phrases sont très longues, mais c’est justifiable. Ensuite, j’ai trouvé que l’on était beaucoup plus du côté policier que du côté victimes. Ayant déjà lu pas mal de romans qui évoquent ce genre de violences, je pense que ça a pu jouer en sa défaveur un tout petit peu.

C’était tout de même une bonne lecture, je l’ai lu très rapidement, en moins d’une journée et c’était très entraînant comme récit.
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Celles qui peuvent encore marcher et sourire

Ce livre nous envoie en pleine immersion dans la section "Agression Sexuelles" d'une brigade criminelle de la Police.

Avec Heloïse, brigadier fraîchement débarquée au sein du groupe, et Ophélie, stagiaire dans le cadre de sa thèse de sociologie, nous assistons aux entretiens des victimes qui déposent plainte pour différents types de viols : conjugaux, sous emprise de l'alcool ou drogue, par des inconnus ...



C'est un sujet délicat et fort, pas facile à traiter. L'auteure , dans ce premier roman, a choisi d'en parler avec audace, sans retenue mais avec une certaine sensibilité.

Elle pointe aussi du doigt les failles et dysfonctionnements de la justice, la difficile intégration des femmes dans un milieu professionnel majoritairement masculin.

C'est un bon roman mais il m'a manqué de l'émotionnel.

Je déplore aussi un texte pas assez aéré.

Mais pour un premier livre c'est réussi.



Merci à NetGalleyFrance et aux Éditions Julliard pour ce Service Presse



Instagram : visionbykri
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