L’action entropique du temps, celle qui, par son effet destructeur, transforme les visages humains en têtes de mort et les corps en squelettes, ne dérangeait plus ces défunts. Bien au contraire, les chairs desséchées en voie d’effritement entrent dans une autre dimension, plus éthérée. Elles ne provoquent plus le dégoût que procurent les cadavres en décomposition, mais, en tant que momies, suscitent admiration et respect.