« D’habitude, je fuis l’amour.
Qu’un homme m’approche, vante ma peau diaphane et les nattes cuivrées qui descendent à mes genoux , et je lui tourne le dos.
J’aime la tranquillité , redoute l’inconstance des sentiments..
Non que je l’aie expérimentée à mes dépens , mais je l’ai lue dans les romans.
Les tocades, les soubresauts des longues passions , ce n’est pas pour moi » ...