Aller au bout de l’histoire. Chaque fois, je me dis que peut- être, au bout, lorsque tout aura été raconté, mâché et remâché, ravalé, ainsi qu’on ravale ses larmes, alors il se passera quelque chose. Les choses seront différentes. Je ne sais quel apaisement. Je ne parle pas d’ oubli. Je sais que c’est impossible, et puis même, je ne veux pas oublier