Le lecteur qui m’aurait suivi jusqu’ici n’hésitera plus, sans doute, à se demander si les femmes sont encore pour moi des êtres humains et si ma théorie ne m’oblige pas à les ranger bien plutôt dans la catégorie des animaux ou des plantes ? […] [La femme] n’a pas plus de réalité métaphysique qu’eux, elle n’est pas davantage, elle est, tout comme eux, apparence et non pas chose en soi.