Park Sung-Woo

Relecture du premier tome pour me remettre dans le bain, j’ai finalement mis du temps à acheter la suite de ce manga donc à part me souvenir de mon excellente découverte de l’époque, je n’en ai aucun de l’histoire. C’est donc celle d’un jeune homme qui, conformément à la requête de son maître et grand-père, garde secrète une technique mortelle mélangeant arts martiaux et maniement du sabre. Le semi-animal apporte un peu de charme et de sourire à cette sombre histoire de secrets et de duels à mort. Les dessins sont superbes et assez compréhensibles lors des combats.



Ah Rin, en voulant ramener ses nouveaux amis chez ses parents, se perd en forêt et rencontre un curieux aubergiste. De nouvelles aventures sont donc au rendez-vous dans ce tome. Nous en apprenons également plus sur le passé de Cho Ryong, cette étrange jeune fille mi-humaine mi-animale. Pour une série en 3 tomes, nous avons beaucoup de personnages qui apparaissent, j’espère qu’on va bientôt en apprendre plus sur eux. Le tome 2 se finit assez rapidement car le mangaka y a rajouté une présentation des personnages et une histoire courte éditée dans le magazine d’origine. À voir donc comment l’histoire évolue et se termine dans le troisième tome.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

Ce tome n’est finalement qu’une succession de combats entre des as dans leurs disciplines. d’après l’éditeur, ce manga aurait reçu des prix dans sa langue d’origine.



On retrouve également le jeune homme du premier tome que l’on croyait mort au fond d’un ravin. Il va avoir le malheur de rencontrer une femme maîtresse d’arts martiaux du Sapa.



La fin n’est pas pour ce tome mais je crois que l’éditeur a oublié d’en imprimer la suite, peut-être faute de succès. C’est dommage car même si les combats à répétition commençaient à m’énerver, j’aurais bien aimé connaître la fin de cette série. Elle est plus complexe qu’elle n’en a l’air. C’est également dommage pour moi puisque c’était une bonne découverte et depuis le temps, je doute fort que l’éditeur remédie à son oubli. Même en cherchant sur le site de l’éditeur, ce manga est inconnu pour lui. Je le garde néanmoins dans ma bibliothèque pour le moment.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

Manhwa acheté lors d'un achat frénétique de BD :-)



Il s'avère que son auteur est le même que pour « Now », manhwa découvert il y a peu et dont j'avais beaucoup apprécié le style aussi bien graphique qu'au niveau de l'histoire :-) Voyons voir ce que donne celui-ci :-)



Très belle couverture en tout cas où on voit un guerrier sur fond rouge et noir, et sur la 4ème de couverture, un long dragon asiatique.



Certains dessins sont vraiment très curieux, ils ne ressemblent pas du tout à ceux de « Now ». Dès qu'il y a des personnages avec des attitudes ahuries, les dessins sont très simples, comme faits par un enfant, tout en rond et quelques points. Très bizarre, vu que dans la même page, il y a, au contraire, des dessins très soignés bien que très noirs, certes ce sont des BD en noir et blanc mais quand même !!



Je dois dire que je ne me souviens même plus du résumé pour lequel je l'avais acheté et il n'y en a pas en 4ème de couverture, donc je lis ce manhwa sans attente ni préjugés, à part pour les dessins !!



Une chose m'a néanmoins beaucoup gêné pendant ma lecture, des « salauds » ou « salopes » fusaient souvent entre les différents combattants. L'auteur n'avait pas d'autres mots en réserve au lieu de ces insultes gratuites ? Certaines scènes sont assez incohérentes entre elles, par exemple 2 hommes se disputent sur la façon de dire leur nom commun (ce sont des gardes du corps d'une même personne) alors qu'ils viennent d'interrompre un combat à mort entre 2 autres hommes...



Il y a peu de scènes d'explications dans ce tome mais beaucoup de combats aux noms de techniques très colorées (« attaque des mains mortelles à l'eau bleue »...) entre différents ennemis et souvent mortels. Les personnages et les situations sont assez peu expliqués et c'est le flou total pour l'histoire, je n'arrive pas à me souvenir ce qui m'avais plu dans ce manhwa...



Malgré le résumé, je n'ai toujours pas compris ce que je viens de lire à part qu'il y a beaucoup de combats et quelques complots de la part d'une école d'arts martiaux.



La plupart des dessins sont superbes, surtout ceux lors des changements de chapitres qui sont vraiment très travaillés. Les combats ne sont pas toujours très clairs et certains dessins laissent dubitatifs quant à leur qualité.



Les pages défilent assez vite car il y a plus de combats qu'autre chose. Le défaut le plus important de ce manhwa correspond à certains dialogues, je me demandais carrément ce qu'ils foutaient là... Est-ce dû à un problème de traduction ? Peut-être bien car ils faisaient vraiment hors-sujet. Il y avait aussi toutes les insultes bidons qui sortaient de la bouche des « voyous » n'importe quand, du genre « petite salope » au lieu de « sale gamine ». Ça m'a plus gêné dans ma lecture qu'autre chose car c'était mal venu et un peu répétitif...



Donc pour toutes ces raisons, je ne lirais pas la suite de ce manhwa et je vous conseille plutôt de découvrir « Now » du même auteur que cette série...



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

BD découverte sur Priceminister en furetant sur la boutique d'un membre remplie en grande partie par des mangas. Je l'ai acheté car sa couverture m'intriguait et du fait que je ne trouvais pas de résumé le concernant.



Dès que je l'ai reçu, je me suis empressée de le lire, interrompant ainsi ma lecture de « Sidhe » (de Sandy Williams) pour une soirée.



La couverture est très belle, dessin très fin, toute en bleue et orangée où on y voit une sorte de samouraï. J'ai également été intriguée par le sens de lecture, j'avais entre les mains une BD sous la forme d'un manga. J'ai eu la confirmation à la fin du tome avec les pub pour d'autres séries.



J'avais en fait un manhwa dans les mains, BD coréenne pour ceux qui ne connaissent pas. J'aime beaucoup le style des manhwa même si j'en connais relativement peu. Pendant un temps, j'achetais le magazine Tokebi qui m'a permis de découvrir, entre autre, « P.K. » (Player Kill) et « Ragnarök », 2 manhwa aux dessins superbes et aux histoires un peu particulières. Je possède d'ailleurs 9 tomes sur 19 sortis en France de la série « P.K. ».



La première page de ce manhwa sert parfaitement de résumé et donne ainsi le ton. L'histoire principale concerne plusieurs groupes d'individus à la recherche d'une technique mortelle d'arts martiaux qu'ils convoitent pour leur bien propre. Mais pas toujours heureusement ^^ Au milieu de ces bandits, nous découvrons un jeune homme dont tout le clan est mort des mains des « méchants » et une jeune femme qui porte une épée légendaire (pesant environ 60kg ^^).



Ce jeune homme a pour mission de trouver cette technique pour la détruire et la jeune femme cherche juste à avoir plus d'informations sur celle-ci car son père en était un des disciples.



En fait, cette technique avait disparu depuis 20 ans. Depuis sa réapparition, tout le monde la cherche pour diverses raisons. Ce manhwa fait donc parti des seinen.



Les graphismes sont absolument superbes aussi bien pour les paysages assez épurés que pour les personnages où tous les détails sont importants. Ceux-ci sont très facilement reconnaissables entre eux car leur visage et physionomie sont très différents. Cela change un peu de certains mangakas où tous les personnages se ressemblent (comme l'auteur de « I's » ^^). La qualité du dessin est vraiment magnifique. Lors des combats, ceux-ci sont également très clairs. L'histoire se passe principalement en haute montagne, ce qui explique la pureté des dessins :-)



Les 4 principaux personnages sont Bi Ryu (que l'on voit sur la couverture et qui en est le personnage principal), Yeon Ah Rin (la jeune femme), Yu Sae Ha (le jeune homme) et Cho Ryong (une enfant de la nature). Nous suivons donc leurs aventures dans le but de protéger la technique secrète de la malveillance et de la convoitise des autres...



Tout ce que je peux dire, c'est que j'ai eu un vrai coup de cœur pour ce manhwa sans trop savoir comment l'expliquer. Ce qui a terminé de m'y persuader, ce sont les 4 pages de présentation sur les personnages principaux avec croquis et informations supplémentaires sur eux :-)



Malheureusement, comme beaucoup de manhwa, cette série compte 25 tomes dont seulement 3 ont été édités en français. En espérant que l'édition reprendra bientôt son cours, je compte bien acheter sous peu la suite :-) C'est bien dommage que la diffusion des manhwa ne soit pas plus régulière que les mangas, cela viendra peut-être un jour...



En tout cas, comme vous l'aurez compris, je vous conseille plus que fortement de découvrir le travail de ce manhwaga dont certaines œuvres ont été éditées en entier :-)



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)

C'est l'histoire de Shu, qui vit avec sa grande soeur (qui, visiblement, est un peu plus que ça à ses yeux...) et sa soeur cadette. Un soir, ils accueillent chez eux un homme et une femme, plus jeune que lui, membres de l'E.C.S. Ils sont alors attaqués par des agents spéciaux. Shu a des pouvoirs, il maîtrise le gêne Zéro et maîtrise la psychokinésie.



J'étais assez intriguée par ce manga, acheté une misère dans un magasin d'occasion. Je n'en attendais pas grand-chose, et heureusement, parce que je n'ai pas été prise par l'histoire. Les évènements s'enchaînent à une telle vitesse, qu'on a pas le temps de comprendre ce qui se passe, et qui sont les personnages, et les liens qui les unissent. Durant un peu plus de deux cent pages, Shu est attaqué de toutes parts, par tout le monde, sans que je sache vraiment pourquoi. Je n'ai pas trop aimé ce premier tome, parce que j'ai trouvé que tout allait beaucoup trop rapidement. J'ai trouvé qu'il n'y avait pas vraiment de sens et que l'ensemble était assez incohérent, qu'il manquait de nombreuses explications... Peut-être apparaîtront-elles dans les prochains volumes, mais je pense m'arrêter là pour cette saga, car ce premier volume ne m'a absolument pas conquise.
Lien : http://leslecturesdanais.blo..

Grâce à l'aide de son grand-père, Keita compte bien en apprendre plus sur sa mère et son sosie. Mais ses espoirs sont réduits à néant quand il découvre que le village de son grand-père a été rasé pour laisser place à un complexe hôtelier. Bien des aventures attendent Keita, Kuro et Akane.

Dans ce quatrième tome, l'auteur nous propose un changement de décor, plutôt réussi. Malgré cela, je n'accroche toujours pas à l'intrigue. Quant au dessin, il est trop chargé. A force de vouloir accentuer la puissance et rapidité des scènes de combats, l'auteur multiplie les traits, sombres et vigoureux, dans tous les sens . Malheureusement, cela ne fait que charger inutilement le dessin et rendre les actions encore moins compréhensibles. J’arrêterai donc ici ma lecture de KuroKami.

L’auteur tente de relancer l'intrigue grâce à des révélations autour de la mère de Keita et l'apparition de nouveaux ennemis. Malheureusement, ces tentatives ne font que compliquer encore plus l'intrigue, déjà difficile à suivre. A vouloir trop en faire, l'auteur égare le lecteur...

Keita vient à peine d'accepter à ses côtés la présence de l'étrange Kuro ainsi que sa mission tout aussi étrange, qu'il se retrouve déjà mêlé à un combat. Le lien qui unit Keita et Kuro est nouveau et donc fragile, pourtant ils vont devoir affronter un adversaire de taille. Sauront-ils s'unir pour faire face ?

Ce deuxième tome est tout aussi déconcertant que le premier. Bizarrement, je ne sais pas trop si j'aime ou non cette série. Le dessin est sympa mais il est souvent trop chargé et manque quelque peu de légèreté. En ce qui concerne l'intrigue, nous n'en sommes encore qu'au début mais les contours de l'histoire ne me semblent pas très bien définis. La relation entre Keita et Kuro apporte heureusement une touche d'humour très appréciable.

Alors qu'il est tranquillement en train de manger dans la rue, Keita fait la rencontre d'une étrange jeune fille du nom de Kuro. Voyant qu'elle est affamée, Keita lui donne son repas. Au moment où celle-ci s'apprête à manger, elle est sauvagement attaquée par un inconnu. Mais la jeune fille est loin d'être aussi fragile qu'elle en a l'air. Il faut dire qu'elle est loin aussi d'être humaine...

D'ordinaire, j'apprécie quand les mangakas mettent un brin de folie dans leurs histoires, mais ici, j'ai eu le sentiment que l'intrigue était un peu exagérée, et cela, alors que nous n'en sommes qu'au premier tome. Les planches sont trop chargées à mon goût, ce qui ne facilite pas non plus la lecture.

Le duo coréo-japonais entame avec brio ce dernier opus tant attendu. Trois cent pages de bonheur titillées par une fin légèrement téléphonée.
Lien : http://www.actuabd.com/KuroK..