Nationalité : France
Né(e) à : Clermont-Ferrand , le 22/03/1950
Né(e) à : Clermont-Ferrand , le 22/03/1950
Biographie :
Pascal Sigoda est né le 22 mars 1950 à Clermont-Ferrand dans une famille originaire du Nord.
Il obtient une maîtrise de droit public à la faculté de droit de Clermont-Ferrand (1968.1972 ). un doctorat de sciences politiques à l’université de Paris II-Panthéon-Sorbonne.Associé au C.R.A.P.(recherches en sciences politiques),laboratoire du C.N.R.S.à Rennes.Membre de jurys de thèses en littérature.
Pascal Sigoda devient dirigeant régional d’un syndicat étudiant réformiste puis cadre du Trésor Public et de l’Education nationale.
Animateur de cercles universitaires d’études et de recherches gaulliennes et participants à des travaux de l’Institut Charles de Gaulle.Membre de la Fondation Marc Bloch.
Il sera également entre 1969 et 2005 responsable de l’association de solidarité franco-arabe (comités directeurs), France-Palestine et de différentes associations transversales de politique étrangère, France-Biafra ,comité pour l’indépendance de l’Europe, France-Québec.Il travaillera à la diffusion du mensuel Actuel de Jean-François Bizot et du cercle Charles Fourier.
Auditeur du Collège de Pataphysique depuis 1984, membre des sous-commissions des Incompétences Réalisatrices et des Monuments historiques et Anhistoriques, il en est fait Régent d’allogonomie.
En 1996 il fonde les éditions Au Signe de la Licorne ,qui ont publié une vingtaine d’ouvrages.Et devient président de la société des lecteurs de Dominique de Roux.Il avait auparavant lancé depuis 1984 une série de manifestations autour de René Daumal, Camille Renault, François Augièras, Luc Etienne.
+ Voir plusPascal Sigoda est né le 22 mars 1950 à Clermont-Ferrand dans une famille originaire du Nord.
Il obtient une maîtrise de droit public à la faculté de droit de Clermont-Ferrand (1968.1972 ). un doctorat de sciences politiques à l’université de Paris II-Panthéon-Sorbonne.Associé au C.R.A.P.(recherches en sciences politiques),laboratoire du C.N.R.S.à Rennes.Membre de jurys de thèses en littérature.
Pascal Sigoda devient dirigeant régional d’un syndicat étudiant réformiste puis cadre du Trésor Public et de l’Education nationale.
Animateur de cercles universitaires d’études et de recherches gaulliennes et participants à des travaux de l’Institut Charles de Gaulle.Membre de la Fondation Marc Bloch.
Il sera également entre 1969 et 2005 responsable de l’association de solidarité franco-arabe (comités directeurs), France-Palestine et de différentes associations transversales de politique étrangère, France-Biafra ,comité pour l’indépendance de l’Europe, France-Québec.Il travaillera à la diffusion du mensuel Actuel de Jean-François Bizot et du cercle Charles Fourier.
Auditeur du Collège de Pataphysique depuis 1984, membre des sous-commissions des Incompétences Réalisatrices et des Monuments historiques et Anhistoriques, il en est fait Régent d’allogonomie.
En 1996 il fonde les éditions Au Signe de la Licorne ,qui ont publié une vingtaine d’ouvrages.Et devient président de la société des lecteurs de Dominique de Roux.Il avait auparavant lancé depuis 1984 une série de manifestations autour de René Daumal, Camille Renault, François Augièras, Luc Etienne.
Source : http://www.franceculture.fr/
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L'éditeur Pascal Sigoda (Au Signe de la Licorne) nous parle d'Alexandre Vialatte.
Citations et extraits (1)
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Il [Vialatte] habitait à la Porte d'Italie un appartement triste dont les fenêtres donnaient sur la prison de la santé. On disait -je n'ai jamais su si c'était vrai- qu'il y avait réalisé un aménagement unique. Envahi par les livres qu'il recevait ou qu'il achetait, ne sachant plus où les mettre, mais refusant de s'en débarrasser, il avait fait faire par son menuisier, un second plancher posé à quarante centimètres au-dessus du plancher réel de l'appartement. Entre les deux niveaux, il avait rangé sa bibliothèque. Il avait dressé un plan méticuleux de cet étrange rangement. Il savait sous quelle lame du parquet de se trouvait Balzac ou Thomas Mann. Il lui suffisait de la soulever pour retrouver leurs oeuvres.
Raymond Castans "Il était notre cancre."
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