J'ai souvent pensé aux hommes et aux femmes qui ont vécu dans ces étages, qui ont ouvert mes fenêtres, qui ont dormi dans notre chambre. Combien d'abandons, de rires, de cris, de déchirures, de fêtes ? Combien de comédies et de drames dont la pierre garde le souvenir? L'âme de la maison se cache dans ses murs, entre les tuyaux du chauffage et les réseaux de fils électriques.