Citation de Tandarica
Je ne veux pas terminer ce livre sans remercier tous mes amis roumains de leur sympathie et de leur concours.
Madame Élise Bratiano, née Stirbey, m'a ouvert la bibliothèque de J-J-C. Bratiano, le modèle des grandes bibliothèques privées, et a disposé elle-même sous mes yeux les livres des anciens voyageurs et plus particulièrement des Français, dont il a été question ici. La synthèse des travaux de mes prédécesseurs aux siècles passés avait d'ailleurs été faite par le conservateur M. Georges Fotino, de la façon la plus brillante, dans son discours de réception à la visite de Louis Barthou.
Mme S. Lahovary, dame d'honneur de Sa Majesté la Reine, m'a gracieusement communiqué ses notes manuscrites sur Bucarest, dans lesquelles elle a bien voulu m'autoriser à puiser de nombreux et précieux renseignements.
Le professeur Jorga a été pour moi le cicerone le plus admirable et le plus docte des amis. À Bucarest, à Sinaïa, à Paris, à Fontenay-aux-Roses, à Venise, j'ai retrouvé partout sa présence ou des traces de son humanisme goethéen.
À M. Tzigara Samurcas, dont la haute érudition alliée à la plus grande amabilité sont connues partout, je dois d'avoir pu pénétrer rapidement dans l'ethnographie roumaine.
Le professeur Opresco, dont il est superflu de vanter ici la science, a bien voulu être pour moi un guide et un hôte infiniment courtois.
L'on sait quelle admirable documentation photographique M. Fillotti a su réunir au service de presse des Affaires étrangères de Bucarest. Grâces lui soient ici rendues pour son obligeant concours.
M. Braïloïu et M. Georges Crutzesco (dont j'attends avec impatience la «Monographie de la Calea Victoriei ») m'ont beaucoup aidé, l'un par son érudition musicale, l'autre par sa connaissance des milieux les plus divers et les plus pittoresques.
À mon cher ami Georges Cantacuzène, chef incontesté de la jeune école d'architecture, je suis redevable de tout ce que je sais de l'art de bâtir, présent et passé, dans son pays.
Je dirai enfin que j'ai trouvé auprès de M. A. Dupront, directeur de l'Institut français en Roumanie, la plus riche source d'information, notamment en ce qui concerne les milieux intellectuels bucarestois.
Madame Élise Bratiano, née Stirbey, m'a ouvert la bibliothèque de J-J-C. Bratiano, le modèle des grandes bibliothèques privées, et a disposé elle-même sous mes yeux les livres des anciens voyageurs et plus particulièrement des Français, dont il a été question ici. La synthèse des travaux de mes prédécesseurs aux siècles passés avait d'ailleurs été faite par le conservateur M. Georges Fotino, de la façon la plus brillante, dans son discours de réception à la visite de Louis Barthou.
Mme S. Lahovary, dame d'honneur de Sa Majesté la Reine, m'a gracieusement communiqué ses notes manuscrites sur Bucarest, dans lesquelles elle a bien voulu m'autoriser à puiser de nombreux et précieux renseignements.
Le professeur Jorga a été pour moi le cicerone le plus admirable et le plus docte des amis. À Bucarest, à Sinaïa, à Paris, à Fontenay-aux-Roses, à Venise, j'ai retrouvé partout sa présence ou des traces de son humanisme goethéen.
À M. Tzigara Samurcas, dont la haute érudition alliée à la plus grande amabilité sont connues partout, je dois d'avoir pu pénétrer rapidement dans l'ethnographie roumaine.
Le professeur Opresco, dont il est superflu de vanter ici la science, a bien voulu être pour moi un guide et un hôte infiniment courtois.
L'on sait quelle admirable documentation photographique M. Fillotti a su réunir au service de presse des Affaires étrangères de Bucarest. Grâces lui soient ici rendues pour son obligeant concours.
M. Braïloïu et M. Georges Crutzesco (dont j'attends avec impatience la «Monographie de la Calea Victoriei ») m'ont beaucoup aidé, l'un par son érudition musicale, l'autre par sa connaissance des milieux les plus divers et les plus pittoresques.
À mon cher ami Georges Cantacuzène, chef incontesté de la jeune école d'architecture, je suis redevable de tout ce que je sais de l'art de bâtir, présent et passé, dans son pays.
Je dirai enfin que j'ai trouvé auprès de M. A. Dupront, directeur de l'Institut français en Roumanie, la plus riche source d'information, notamment en ce qui concerne les milieux intellectuels bucarestois.
