Ecrire la biographie de Char m'aurait semblé insipide : j'avais envie de me rouler dans ses textes comme dans des draps de lit. (...)
Avec René, rien n'était jamais facile et désarmé. J'allais aux Busclats comme on va au bureau ; le plaisir n'était pas avec René, mais au retour, à manier l'édition de ses œuvres dans la Pléiade.