Je ne comprends pas ce qu'il m'arrive, encore moins pourquoi elle me résiste tant. Je peux pourtant avoir toutes les nanas que je veux, mais non, c'est elle qui m'intéresse pour le moment. Peut- être justement parce que je ne peux pas l'avoir.
Prologue :
" Je décide alors de finir de voir les dégâts qu’ils m’ont infligés. Mon cou, ma poitrine et ma cuisse portent une vilaine plaie. J’ai l’air d’un monstre !!
Je les hais !! Tous les hommes sont des ordures, la dernière espèce après les crapauds ! Plus aucun d’entre eux ne me touchera, jamais, plus jamais."
J'imagine les titres des journaux: "une petite française écervelée, perdue dans la lande finlandaise, retrouvée égorgée par une meute de loups" ou "grignotées par les rennes de Santa Claus en manque de carottes".
Avec tes mots, tu as su faire partir tous mes maux. Avec ton coeur, tu m'apportes la douceur. Avec ta voix, tu m'apaises et m'amènes à toi. Avec ton regard, j'ai l'impression que tu me dis que je suis à toi.
Je n'étais qu'un concentré de haine bouillonnante tel un volcan en éruption. Je ne pouvais plus me regarder dans un miroir, sourire à ma famille, être touchée ou même parler au personnel mâle.