Peter Berling

Mièvre et ampoulé , je ne suis pas allé au bout de ce roman .Dommage .
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Ne faisant pas partie à proprement parler du Cycle: Les enfants du Graal, cet excellent roman s'y rattache pourtant, car il dévoile la vie de certains personnages du Cycle. Toujours aussi bien documenté et Passionnant.

Laurence, quinze ans, est une rouquine qui veut faire la guerre. Elle est bien déterminée à partir en mer, vêtue comme un homme et à conquérir le monde.

Le souvenir que je garde de ce roman est que je l'ai bien appécié même si j'y ai trouvé beaucoup trop de similitude (a mon avis) avec l'histoire de Jeanne D'arc. Bonne lecture moyen-âgeuse malgré tout!

Terriblement ennuyeux.

Et du rocambolesque vraiment peu crédible voire ridicule.

La part historique est confuse. On ne comprend pas toujours les aspirations des différents partis et le pourquoi des intrigues.



Bref, j'ai vraiment lutté pour aller jusqu'au bout.

En ce début de XIIIeme siécle,Laurence la rouquine,agée de quinze ans,fille de Normands,part accomplir le fabuleux destin que lui a promis une voyante.

Vêtue en chevalier,elle prend la mer,en quête de toutes les aventures.Des tournois de Fontenay aux fastes orientaux de Byzance,des sombres forêts des Ardennes aux lumineux rivages de Sicile,son chemin aboutira au coeur de l'Occitanie.

Là où se déroule la plus cruelle et fanatique des croisades,celle menée contre les Albigeois ou "Cathares",leur civilisation et leur mystique de l'amour et de la liberté

Eprise de l'idéal chevaleresque,Laurence connaitra alors la tragédie de l'histoire,ce tourbillon de feu et de sang,où le rêve du paradis peut engendrer le pire des enfers.Audacieuse et inflexible,il lui faudra retirer des flammes sa propre part de vérité.

Un roman historique que ne nous apprend rien de nouveau au sujet du fameux secret perdu des Templiers. J'ai trouvé la trame narrative relativement intéressante. Quelques chapitres sauvent l'ensemble de l'œuvre.

Excellent roman historique, passionnant du début à la fin et extrêmement bien documenté.

Brown avait du le lire avant d'écrire le Davinci Cod

La saga est fascinante dans son intégralité, mais rien que ce premier tome est un voyage sans pareil. On se prend à vouloir chérir Roç et Yeza, on sourit volontiers aux aventures du moine conteur Guillaume (il serait presque belge!) mais on reste sans voix face â la complexité géopolitique du moment... Et l'on s'étonne de ce qui se passe de nos jours autour de la Méditérannee?

Dur à lire, tant c'est dense, mais portrait stupéfiant de l'époque

Très bonne saga, riche et sensible. Le n4 peine un peu mais ce n'est que passion et apprentissages de rites, de culture. A conseiller +++

Histoire complexe et fascinante à la fois, j'ai été charmé par ces deux enfants et leur moine préféré qui évoluent dans un contexte historique dont j'ignorais tout. L'équilibre entre le romanesque et l'historique facilite la lecture et je vais sans doute explorer les suites.

Une oeuvre "trop" dont l'idée originale était bonne mais qui nous perd dans les méandres des citations dans diffèrentes langues, des multiples lieux et personnages. Ai eu du mal à terminer ce livre trop dense et finalement qui laisse un sentiment de manque complet de véritables idées ou fil conducteur. Je ne lirais certainement pas les autres tomes, ni d'autres ouvrages de cet auteur; et j'ai du mal à croire que c'est cela la 'Culture'; une succession de références culturelles juxtaposées.

Ce premier tome d’une pentalogie se présente, d’entrée, comme une somme. 700 pages, accompagnées de presque 40 pages de notes. Et, première remarque : d’où sort cette idée de regrouper toutes les notes en fin d’ouvrage, rendant leur utilisation franchement problématique ? D’autant qu’on le comprendra facilement : lorsque vous avez 40 pages de notes pour 700 pages de texte, on n’est plus dans l’usage occasionnel. Et, en effet, le texte est parsemé de citations en latin, en vieux provençal, en grec, en arabe…



Résultat : soit on hache dramatiquement la lecture, en faisant des allers-retours permanents, soit on finit par se dispenser des notes… ce qui revient à dire que, à quelques exceptions près pour quelques citations parmi les plus simples en latin, on fait sans les traductions, en se contentant d’essayer d’en deviner l’orientation.



Et cette remarque sur les notes est assez emblématique de cette lecture : si on sent bien la passion de l’auteur pour cette période de l’histoire, force est de constater que celui-ci n’a pas voulu trancher entre faire œuvre d’historien – avec ces notes, mais également avec certains passages d’une grande complexité sur la géopolitique de l’époque – et faire œuvre de romancier, en vulgarisant pour le grand public une période agitée de l’histoire européenne.



Il y avait une idée géniale à l’origine de ce livre : mobiliser, pour s’en inspirer, les véritables chroniques de Guillaume de Rubrouck – l’homme, ami de Saint-Louis, a en effet traversé une partie du monde, se rendant jusqu’à Karakorum et en Mongolie, et a adressé au roi une longue lettre décrivant son périple -.



Mais, et cela a fini par m’achever, l’auteur, à côté de tous ces éléments historiques, choisit, on ne sait pour quelle raison, de faire figurer dans son roman des membres du Prieuré de Sion, si cher à Dan Brown et qui a contribué au succès de son Da Vinci Code, mais dont on sait qu’il s’agit, pour l’essentiel, d’une invention du XXe siècle, et non d’une société secrète créée en 1099.



Comme si la véritable histoire n’offrait pas suffisamment de mystères et de récits proprement fantastiques ! Pourquoi, alors, aller inventer, surtout lorsque derrière se dissimule des théories complotistes ou pratiquement ? Bref, ce mélange de sérieux, parfois même à l’excès – lorsque l’on ne sait plus si l’on est en présence d’un roman ou d’un travail d’historien – et de théorie discutable est finalement devenue, pour moi, totalement indigeste.



Alors pour ceux qui recherchent des romans historiques en mode thriller, je recommande plutôt d’aller du côté de Steve Berry – au moins, on sait précisément, grâce à l’auteur, ce qui est de l’ordre de la fiction et ce qui est attesté historiquement -, et pour ceux qui aiment les mondes carrément plus imaginaires, allez de préférence vers du Guy Gavriel Kay…
Lien : https://ogrimoire.com/2021/0..

Roman très bien fourni en personnages historiques, en dates, en lieu.

Il faut, du coup, une excellent mémoire pour s'y retrouver : certains personnages ont un nom "occidental" et un nom "arabe", l'auteur y parle également des accord politiques ou économiques entres les grandes villes italiennes.... Ces accords étant fluctuants, les alliances le sont également et il faut réussir à se souvenir qui est ami et qui est ennemi....

Même si l'intrigue est passionnante, il faut s'accrocher pour aller jusqu'au bout !

Personnages attachants et intéressants. Aventures palpitantes et constantes. Grande valeur historique avec notes historiques sur les personnages, lieux, etc. Traduction de nombreuses citations en arabe, languedoc, latin, grec, etc. Se lit rapidement malgré le nombre de pages. Un must pour tous les amateurs d'Histoire, du Moyen-Âge, du Graal, des Templiers et des Cathares.

En tant qu'amateur de roman historiques je ne tolère pas les erreurs grossières sur le plan historique.

Sur ce plan la Peter Berling est irréprochable car le niveau de documentation est proprement hallucinant.

Il vous fera voyager à travers le 13 ème siècle de la chute de Montségur en Pays Cathare aux confins de l'Asie en passant par la Sicile et la Palestine (croisades).

On y retrouve des personnages ayant existé comme le moine Guillaume de Rubrouck que l'on suivra jusqu'en Mongolie. On y croise la secte des assassins etc ....

Ce roman est un voyage permanent, une succession de rencontre de paysages, de couleurs, d'odeurs et surtout d'aventures..

Le premier volume d'une saga qui en comprend 6. Le trésor des Cathares : deux enfants (une fille et un garçon) qui seraient les descendants du Christ. Autour d'eux, une multitude de personnages prêts à tout pour les protéger, ou pour les détruire. Une fuite qui mène le lecteur autour du bassin méditerranéen. Une recherche et une documentation impressionnante, qui font une saga pleine de rebondissements, d'aventures. Le travail de Berling est complet. Il croise l'histoire des différents peuples d'Europe, d'Asie, d'Afrique du nord et du Moyen Orient au cours du XIII eme siècle. C'est tout simplement gigantesque. Beaucoup de personnages pour ce premier tome, ce qui complique un peu la lecture, mais c'est pas grave. Fortement conseillé, Régalez-vous....!!!

Dur à lire, tant c'est dense, mais portrait stupéfiant de l'époque

Je l'ai lu il y a très longtemps mais je me souviens que ce livre m'avait marqué, j'y ai découvert des pans d'histoire que j'ignorai.

Cette saga est pour moi une très belle découverte car elle reprend les thèmes qui sont chers à mon cœur.

Cet ouvrage nous raconte la curiosité d un moine franciscain qui va vivre des péripéties et des voyages hors du commun avec la rencontre des Templiers, des Assassins, des légats du pape ,de l Inquisition, des nobles prêts à tout pour sauver se Saint Graal.

Roman épique aux rebondissements nombreux.

Il faut reconnaître à l auteur son sens du détail historique qui n alourdit pas le déroulement des événements.

Hâte d entamer le seconde tome et poursuivre la suite des événements.