Dans ce contexte catholique et campagnard, toute manifestation d'une vie féminine propre était avant tout déplacée et incontrôlée ; coups d’œils obliques jusqu'à ce que la confusion ne soit plus seulement mimée par des grimaces mais aille tout au fond effaroucher les sentiments les plus élémentaires. "Femmes rougissantes" même dans la joie parce que l'usage commandait d'avoir honte de cette joie ; le visage ne pâlissait pas mais rougissait dans la tristesse, on ne fondait pas en larmes mais en sueur.