Divin comme puissance, sacré (par opposition au religieux proprement dit) comme émotion, panthéisme, vitalisme, reconnaissance de la dignité des fonctions de (re) production à côté de celles de souveraineté et de guerre, approbation des désirs et des sentiments naturels, sécularisme, optimisme, tendance au progressisme historique, ritualisme, absence d’intellectualisme, particularisme, communautarisme, nationalisme, primat du présent : ces traits du shintô condensent ce que la pensée japonaise a de plus particulier.