Pendant qu'il désamorce les yeux mi-clos son risque d'infarctus, j'étudie les monts et les vallées de son visage. Il y a plus de peau que de place. Je suis les fleuves de rides qui s'enfoncent et disparaissent dans leurs propres rives. Je regarde le front renversé en arrière, la bouche entrouverte, la langue rose qui contraste avec la peau pâle. On dirait une langue de tortue.