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Critiques de Q-ta Minami (28)
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Elle

Elle est une adaptation graphique du roman D’Après une histoire vraie de Delphine de Vigan. Qta Minami en a toutefois modifié les noms des protagonistes ( et quelques éléments de leur personnalité), les lieux ainsi que la fin. Personnellement je n’ai pas lu le roman de l’autrice française aussi je ne peux pas comparer. Mais j’ai été fascinée par cette histoire et j’ai donc lu cet épais roman graphique d’une traite. L’histoire donc, c’est celle de Yuu, une écrivaine qui a connu un succès fulgurant avec son roman mais qui n’arrive plus à écrire depuis et reçoit aussi de nombreuses menaces. Elle rencontre alors une jeune femme nommée Eru qui va prendre de plus en plus de place dans sa vie, la coupant de son entourage et l’incitant à écrire un nouveau roman extraordinaire.



On suit la descente aux enfers de Yuu en parallèle de l’emprise croissante d’Eru dans sa vie. Alors que l’autrice n’a plus de recul et se laisse peu à peu enfermer dans une bulle, le lecteur sent qu’Eru n’est pas aussi bienveillante qu’elle le prétend et que psychologiquement elle est instable. Thriller psychologique, Elle explore est une réflexion sur le succès : la pression qu’il génère, les revers aussi et bien sûr les conséquences psychologiques que cela peut avoir lorsqu’on n’y arrive plus ou qu’on a peur de faire moins bien. J’ai aimé découvrir la personnalité d’Eru et Yuu tout comme le couple étrange qu’elle forme peu à peu. Le suspense est aussi là : jusqu’où cette relation toxique ira t-elle entre Eru et Yuu ? N’ayant pas lu le roman de Delphine de Vigan, tout était une découverte pour moi et j’ai été captivée par les personnages et l’histoire jusqu’à la fin, qui m’a laissée pensive…
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Elle

Objet assez original : Elle est un très beau et gros oneshot qui nous permet enfin de retrouver Q-ta Minami sous nos contrées, pionnières du genre avec d'autres il y a une vingtaine d'année, qui avait ensuite disparu des radars. Je suis ravie que cette idée qu'elle a eue d'adapter en manga le roman d'une autrice française lui permette ainsi de retrouver nos rayons. 



Q-ta Minami, c'est donc l'une des pionnières du josei en France et j'ai envie de dire, de manière un peu provocatrice, du vrai josei, celui destiné à un public féminin mature et plus âgé que les premiers lecteurs de manga. Avec elle, on retrouve les portraits de femmes actives ou étudiantes, souvent un peu à la dérive, dans un trait se rapprochant de la ligne claire de la BD franco-belge, ce qui a pu expliquer son arrivée mais aussi sa disparition autrefois. 



Avec Elle, elle signe un oneshot assez volumineux que Pika a fait le choix de nous présenter dans sa collection grand format Graphic, ce qui en fait un beau bébé. Pourquoi ce choix ? Probablement pour viser un public amateur de franco-belge, voire de littérature blanche, puisque Elle est l'adaptation très libre du roman D'après une histoire vraie de Delphine Vigan, célèbre autrice française qu'on ne présente plus, mais que je n'ai pas lu, donc je ne pourrai vous dire si l'adaptation est fidèle... Navrée. 



Je vais donc vous parler en néophyte de cette oeuvre, que je vais considérer comme originale, où l'autrice retrouve plusieurs de ses marottes et développe en plus des thèmes forts intéressants autour des relations toxiques, de l'emprise, de l'inspiration ou la panne d'inspiration, des processus créatifs et de la démarche d'écrivain et de ghostwirter, ce métier de l'ombre. J'ai adoré ! 



J'ai d'emblée été fascinée par les personnages grâce à l'ambiance étrange que l'autrice met en place. L'héroïne est une écrivaine qui vient d'avoir un gros succès avec un récit autobiographique mettant à mal sa famille. Elle ne sait pas comment rebondir ensuite. Elle arrive également à une période charnière de sa vie, sa fille étant partie étudier, et étant elle-même dans une relation sentimentale où les sentiments ne sont pas trop là. Elle reçoit en prime des lettres anonymes menaçantes, donc elle n'est pas dans une position facile. Elle va rencontrer une jeune femme un peu étrange, fan de son travail, qui va peu à peu s'immiscer dans son quotidien jusqu'à devenir une amie très proche, trop proche. 



La façon dont Qta Minami décrit cette rencontre et la lente bascule de son héroïne vers une relation de dépendance malsaine est incroyable de justesse. C'est d'une délicatesse, grâce au rythme lent et entêtant choisi. J'ai adoré ! On est d'abord content de voir cette femme un peu seule trouver un nouveau pilier rassurant dans sa vie, mais très vite on sent que quelque chose cloche et c'est comme ça dans la vraie vie. L'autrice nous transmet très bien cette montée d'inquiétude aussi à travers quelques scènes bien choisies mais qui flirtent entre la fiction et la réalité comme un certain film parlant aussi de ghostwriter, c'est fort réussi. 



Les thématiques autour de l'écriture sont également très puissantes. On se plaît à aller dans les coulisses de la réalisation d'un roman. C'est plaisant d'en apprendre plus sur les processus d'écriture des auteurs, les retombées de leurs choix, leurs relations avec leurs fans et leur éditeur, leurs incertitudes, leurs recherches, mais aussi la douleur qui ça peut procurer pour qu'enfin quelque chose sorte. La mise en scène de la page blanche est éminemment bien faite, avec une petite teinte de thriller grâce à l'ajout de ce ghostwriter se proposant d'y suppléer. On rentre vraiment dans l'intimité et la tête de l'autrice en tout cas et c'est fascinant de voir le trouble qu'il y a.



Avec ce trait très pur, le dessin de Qta Minami se prête à merveille à cette histoire. Il a quelque chose de très mature dans son épuré, donnant encore plus de force à chaque trait. Le vide des cases balance très bien avec le vide de l'esprit de l'autrice à la recherche d'idées, de thèmes, de mots. Chaque geste est ainsi encore plus souligné dans ce drame en puissance que l'utilisation parcimonieuse du noir renforce. Pour autant, c'est parfaitement ancré dans notre réalité, notre quotidien et son intimité. Je suis très fan de ce type de dessins. 



Oeuvre puissante sur les thèmes de relations d'emprise et du syndrome de la page blanche, Qta Minami signe ici un superbe retour dans les librairies françaises. C'est à la fois intime, bouleversant et intrigant, plein de mystère. Un mélange de thriller et de drame psychologique parfaitement rythmé et mis en scène avec un trait épuré mais puissant. J'ai adoré. Donnez-nous plus de josei de ce style !
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Elle

En voilà un gros pavé que j'avais hâte de découvrir. Lire une adaptation sans connaître l'œuvre originale est devenue une habitude chez moi en ce moment. Ainsi, je me laisse porter sans rien connaître de l'intrigue. Josei mature et étrange, les dessins sont vintage dans l'univers du manga.

"Elle"/Eru arrive par hasard dans la vie de cette jeune auteure célèbre en panne d'écriture. "Elle" prend sa place dans sa vie et quand "elle" en sort, c'est brutal sans retour en arrière comme un sentiment d'arrachement pour Yuu. Un manga sur l'emprise? Pas tout à fait même si on a l'impression que c'est le cœur du sujet durant 80% de l'ouvrage. C'était très prenant comme titre. On ressent l'isolement de Yuu par cette inconnue fanatique mais également sa solitude et sa pression face aux attentes des fans de sa première œuvre monumentale. Une fin surprenante, dérangeante, sûrement une adaptation fidèle à l'originale.
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Guide de Tokyo en manga

J'ai beaucoup apprécié ce guide pour découvrir la ville de Tokyo et ses lieux insolites à travers un manga. Je trouve l'idée originale, pour chaque lieu, les auteurs nous proposent une petite histoire. Le tout agrémenté de conseils : spécialités, shopping, musées, etc. Les dessins et couleurs sont raffinés. Un petit bijou.
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Mlle Oishi, Tome 1 : 28 ans, célibataire

C'est une chronique douce-amère qui m'a plutôt touché. Une gentille jeune fille enjouée et sympathique tombe amoureuse d'un vrai looser. Il est fraîchement divorcé et lui dit qu'il va s'occuper d'elle, qu'elle n'a plus besoin de travailler. Il tombe alors au chômage. Elle découvre petit à petit qu'il a des dettes, beaucoup de dettes...



Il emprunte beaucoup d'argent à son père. Elle laisse faire croyant qu'il va changer mais la situation ne fait que s'empirer. Il achète une voiture avec l'argent prêté par le père de notre jeune fille. Par ailleurs, il passe tout son temps avec ses enfants du précédent mariage. Beaucoup de femmes se reconnaîtront dans cette situation où l'homme abuse car il est beau (surtout beau parleur).



J'aurais envie de dire à cette Mlle Oishi de prendre ses distances. Mieux vaut être seul que mal accompagné. Où sont les hommes ? On se le demande. Les relations amoureuses sont au centre de ce manga mais cela va plus loin car cela aborde également les difficultés du couple dans la vie quotidienne où il faut payer le loyer, les courses, les factures. J'ai bien aimé cet aspect là même si ce n'est pas très romantique.



Bref, je découvre un jôsei (à savoir un manga pour femmes) un peu original. Je n'ai pas trop l'habitude avec ce genre mais comme je suis très ouvert, j'essaye.
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Elle

Je ne sais pas trop comment débuter mon avis. Je me suis retrouvé face à une bande dessinée qui m'a un peu déstabilisé. Dans un premier temps, je ne savais pas si je suivais le personnage principal ou celle qui l'accompagne, Eru.



J'ai eu beaucoup de mal avec la temporalité de l'histoire. Je me suis perdue à plusieurs reprises dans les événements et cela m'a vraiment sorti de ma lecture.



Par contre, j'ai adoré l'aspect un peu thriller psychologique qui finit par se glisser dans l'histoire. Eru est un personnage inquiétant qui m'a mis vraiment mal à l'aise. Et toute la fin de l'histoire.... brrr, je n'étais pas bien du tout.



.



Une lecture qui ne m'a pas laissé indifférente mais que je ne suis pas sure d'avoir apprécié.
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Elle

(AFL971) Ce manga est adapté du roman de Delphine de Vigan, D'après une histoire vraie. Elle de Qta Minami nous plonge dans une intrigue qui se déroule au Japon dans une mégalopole.

C'est la rencontre de Yuu qui est une jeune autrice couronnée de succès avec la sortie de son premier ouvrage qui traite du suicide de sa mère. Or, tout le monde attend d'elle qu'elle confirme son talent sauf qu'elle est confrontée à l'angoisse de la page blanche. C'est ainsi qu'au détour d'une séance de dédicace, elle fait la rencontre de Eru, une ghostwriter avec laquelle elle va se lier d'amitié et prendra de plus en plus de place dans sa vie. Un thriller psychologique qui nous embarque ...et au milieu du récit nous avons l'intervention de l'auteure qui nous explique ses partis pris. Album pour le lycée.

(MAB971) J'ai essayé, je ne suis pas arrivée à la fin.

(IK971) J'attendais beaucoup de ce manga adapté du roman de D. de Vigan que j'avais adoré!!! Je n'ai pas réussi à entrer dans l'univers créé par Minami. Dommage, non pour le Prix.
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Elle

Une chose est sure ce « manga/roman graphique » m’aura donné envie de lire l’œuvre originale de Delphine de Vigan « D’après une histoire vraie ».

J’ai beaucoup aimé l’histoire qui se cache derrière « Elle ».

Y est abordé le sujet de l’auto fiction avec la critique parfois acerbe qui lui est faite comme étant de la sous littérature.

Il y a l’angoisse de la page blanche, « la solitude » de ceux qui écrivent pouvant les pousser jusqu à la folie.

Puis ce thème présente comme un thème principal du récit mais que j’ai trouvé finalement relativement secondaire : le suicide.

Lorsqu on sait que Les personnes qui font le deuil d’un proche par suicide ont plus de probabilité de se suicider eux aussi que les autres cela donne une autre dimension à l’histoire. Avec ce sinistre héritage et la façon dont il est possible de le dépasser ou non…
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Elle

Découvrez l’adaptation manga du roman de Delphine de Vigan « D’Après une Histoire Vraie ».

On va suivre la vie de Yuu une romancière à succès qui s’est fait connaître grâce à ses récits fortement autobiographiques. Aujourd’hui après avoir publié un roman parlant du suicide de sa mère, elle souffre du syndrome de la page blanche qui lui procure des angoisses. À cela vient s’ajouter une sorte de syndrome de l’imposteur qui la paralyse dans son travail. Lors d’une séance de dédicace, sa route va croiser le chemin d’Eru une jeune femme mystérieuse qui va peu à peu s’immiscer dans sa vie jusqu’à devenir indispensable.

Cette dernière va venir combler un vide chez Yuu qui va se laisser doucement entraîner dans une relation toxique qui pourrait autant la mener à sa perte qu’à concevoir LE roman de sa vie…

C’est une histoire pleine de réalisme qui nous est proposée. Je ne connaissais ni le roman d’origine, ni le film qui s’en inspirait, j’ai donc découvert cette histoire sans apriori et je me suis laissée emporter dans cette relation en ayant à chaque page un peu plus le cœur noué. On s’attend à une belle histoire d’amour naissante mais que nenni, ce n’est pas ce type de relation qui va naître et on s’en rend vite compte. J’ai trouvé ça vraiment criant de vérité, seule la fin m’a dérangée parce que j’aurais préféré être sûre de savoir qui était Eru. Je sais que ce n’est pas la même fin que celle du roman comme nous le dit l’auteur, alors si vous avez lu l’œuvre originale n’hésitez pas à me dire comment ça finit normalement parce que là, je n’ai pas trop aimé qu’on me laisse me faire mon propre avis…


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Elle

Hum j’avais pas signée pour ça. Non sérieusement je m’attendais pas du tout à ça ! C’était inattendu mais pourtant fabuleux. Une fois ouvert j’ai du passer au travers à cause du suspense et des signes qu’on reçoit de la part d’Eru. La fin m’a un peu rendu confuse, tant qu’à garder le mystère autant enlever la dernière page et garder l’avant dernière comme fin enfaite.

Sinon, vraiment incroyable comme œuvre, les dialogues et les dessins m’ont fascinés !

On part très loin dans la psychologie et honnêtement il faut se creuser un peu la tête pour tout comprendre mais ça vaut le détour.
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Guide de Tokyo en manga

Je remercie infiniment les éditions Petit à petit pour cet envoi.



Un excellent ouvrage très bien pensé et qui donne assurément envie de voyager. J'ai appris énormément de choses sur la ville de Tokyo au travers de ses pages colorées qui se tournent toutes seules. Chaque quartier de Tokyo est présenté par le biais d'un manga de trois-quatre pages et par une double page avec un plan et tout ce qu'il y a à y faire, que ce soit en matière de shopping, spectacles, sport ou bien encore gastronomie. L'histoire n'est pas en reste avec des anecdotes plus ou moins connues donnant à découvrir le Japon d'antan et la façon dont les Japonais vivent aujourd'hui. C'est extrêmement complet sans être lourd et on termine l'ouvrage en ayant presque envie de le relire tant on a envie d'en retenir chaque ligne pour une future aventure. De mon côté, le Japon et plus particulièrement sa capitale est un endroit que je rêve absolument de visiter et chaque section de cette œuvre m'a semblée importante à mémoriser pour que ce life goal se réalise enfin de façon concrète. Rien ne m'a paru superflu ou inutile, bien au contraire : c'est très enrichissant tout en condensant au mieux l'information et les graphismes ne rendent la lecture que plus attrayante. Le livre a notamment une mascotte (le shiba inu que l'on retrouve sur la couverture) présente à chaque chapitre, ce qui nous donne l'agréable impression de parcourir les seize quartiers à ses côtés (j'ignorais d'ailleurs qu'ils étaient si nombreux !). J'ai relevé de nombreuses autres qualités à Découvrir Tokyo en manga qu'il serait ardu de toutes énumérer mais je vais essayer. Premier point : ce sont des mangakas japonais qui nous racontent Tokyo à leur manière, qui ont souvent même des liens avec le quartier qu'ils traitent car celui-ci fait partie de leur vie et/ou sert de toile de fond à certaines de leurs œuvres. Second point : la parité est respectée (huit mangakas hommes et huit femmes, on se bat tellement pour cela qu'il est essentiel de le souligner) et à la fin, chacun.e est individuellement mis.e en valeur avec un encart sur son œuvre personnelle qui lui est dédié. J'ai trouvé cela top de promouvoir ainsi le travail de mangakas pour la plupart inconnus en France. Personnellement, je ne les connaissais pas et je suis très contente de pouvoir corriger ce tort. Des mangas d'autres artistes parus en France sont également listés en fin d'ouvrage. Leur point commun : leur intrigue a comme arrière-plan l'un des quartiers de Tokyo, ce qui permet de prolonger la découverte. Troisième point : les autres collaborateurs de l'ouvrage sont également mentionnés et remerciés et cette marque de politesse m'a vraiment fait apprécier le livre à un autre niveau encore. Quatrième point et pas des moindres : pour chaque quartier, les rames de métro sont indiquées avec leur logo/légende. Ca peut paraître pas grand chose, surtout au vu du précédent point que j'ai soulevé, mais le métro de Tokyo étant considéré comme un véritable enfer (en particulier pour les étrangers), cette petite attention m'a touchée. Je sens que je vais embarquer cet ouvrage avec moi lorsque je débarquerai dans la mégalopole nippone, ce sera ma mini Bible à moi ! Une chose est sûre, ce livre m'a mis des étoiles plein les yeux et m'a fait espérer de l'allégresse et de l'évasion en ces temps très incertains, et ça, c'est déjà grandiose !
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Guide de Tokyo en manga

Dans « Découvrir Tokyo en manga« , 30 quartiers incontournables de Tokyo sont valorisés, regorgeant de surprises architecturales, gastronomiques, historiques, culturelles, et sublimés par de talentueux auteurs japonais.



Pour la première fois en langue française, vous pourrez vous plonger dans un manga de découverte conjuguant récits dessinés et pages documentaires pour vous offrir des repères clés sur la capitale japonaise.



Bon à savoir : le livre se lit comme un manga japonais… Donc en débutant par « la fin » selon la lecture habituelle en France.
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Adieu Midori

Difficile de ne pas imaginer que des éléments autobiographiques alimentent cette histoire de jeune femme dont on suit la vie sentimentale et sexuelle.

Yuko, 20 ans, vit de petits boulots peu ou pas qualifiés, accepte de travailler la nuit dans un bar comme hôtesse. Son petit ami, n'est guère plus âgé, et en tout cas peu mature pour s'engager véritablement auprès de Yuko, qui n'aspire elle qu'à trouver un mec pour une relation "durable".

Manga générationnelle d'une jeune femme (l'auteure n'a pas trente ans lorsqu'elle publie son récit) parlant librement de la vie, du plaisir, des envies... bref, un instantané de la psychologie féminine au Japon de la fin des années 90, et cela dans un style où des planches et dessins sont assez épurés.
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Mlle Oishi, Tome 4 : 32 ans, mariée

« Melle Oishi » raconte la vie réaliste d’une jeune japonaise, de sa vie sentimentale à sa vie professionnelle. Souvent jugée pour son âge, puisqu’elle n’est pas mariée, et pour son indépendance, vivant seule et travaillant. Sa relation avec Henmi va changer la donne même si ce compagnon va vite révéler ses défauts. Dans le premier tome, Kon Oishi à vingt-huit ans et est une éternelle célibataire, à son âge toute jeune japonaise est « censée » se trouver un mari mais les choses ne sont pas aussi simples. Elle va rencontrer Henmi à son travail, un homme fraîchement divorcé et père de deux enfants, il vont rapidement nouer une relation jusqu’à ce qu’Henmi la demande en mariage, Kon, amoureuse et voyant là une chance de sortir de son célibat, accepte. De là, démarre une vie de couple quelque peu chaotique, bridée et décevante pour Kon. Henmi lui demande d’abord de lâcher son travail puisqu’ils vont se marier, elle devra donc s’occuper de la maison, ce qu’elle fait, avant de finalement trouver un autre travail dans une mercerie. De son côté, lui perd son travail suite à un licenciement économique et se révèle être un homme bien différent de ce qu’elle pensait.



Melle Oishi est un personnage féminin fort et doux à la fois, très humaine, elle n’hésite pas à rendre service, passionnée par la couture, le tricot et les tissus, elle travaille dans une mercerie à côté d’un salon de coiffure où elle va rencontrer Tetsu, un coiffeur talentueux et moderne aux multiples piercings cumulant les conquêtes d’un soir qui va vite devenir son meilleur ami et confident. Au travers de quatre tomes de qualité retraçant différentes étapes et épreuves de la vie de la jeune japonaise, on suit ses états d’âmes, ses émotions, sa vie sentimentale mouvementée, souvent très difficile, parfois heureuse, son évolution professionnelle qu’elle gère d’une main de maître malgré les difficultés personnelles. Il y a donc réellement un aspect très mature qui change indéniablement des jeunes adolescentes collégiennes ou lycéennes que l’on côtoie habituellement dans les shojos.



Il est donc intéressant de suivre les étapes de vie de cette jeune femme sur plusieurs années dans une culture où le rôle de la femme est encore brimé par les traditions. Ici le titre est nettement plus adulte avec son lot de drames, de sexe, d’amour, d’amitié et de thématiques fortes et actuelles. C’est ancré dans un réalisme omniprésent, les personnages ne sont pas épargnés et leur vie n’est clairement pas enjolivée.



Kon va vivre des drames, de même que son entourage… On a une ribambelle de protagonistes aux caractères bien définis avec énormément d’individualité pour toujours ouvrir à des sujets souvent réalistes, parfois difficiles et dramatiques, actuels et bien évidemment de temps à autre heureux :



la vie de couple et l’amour avec Henmi, Kaji ou Tomio, des personnalités distinctes, de la déception, du bonheur, de la tristesse, de la passion, de la tendresse, toute une flopée d’émotions attend Kon au travers de ses histoires d’amour,

l’homosexualité avec le frère de Kon, Yukari qui a beaucoup de mal à gérer son orientation sexuelle,

l’amitié avec Tetsu, meilleur ami et confident, séducteur invétéré, il cumule les coups d’un soir mais respecte profondément Kon qui est un peu sa femme idéale, certainement le personnage le plus drôle mais aussi le plus intéressant,

l’amitié et la condition de la femme au Japon avec une amie, reflet idéal de la jeune femme japonaise mariée,

le mariage avec des parents riches qui peinent parfois à s’entendre mais qui sont toujours mariés,

etc…



Des sujets donc très divers allant de la vision de la société japonaise à des sujets pour personnels tel que les amours de l’héroïne.



Du côté visuel, le coup de crayon est clairement dépassé, c’est très épuré, imprécis, rien à voir avec le visuel des mangakas actuels. Pourtant, cela ne nuit pas à la lecture, au contraire, cela donne du contraste au titre entre la simplicité des traits et la force des sujets traités, dramatiques, réalistes et matures. Des thèmes qui parleront aux couples, aux femmes indépendantes et à bien d’autres.



En bref, une série réaliste et mature qui loin de vous embarquer uniquement dans la joyeuseté, vous embarque surtout dans un condensé d’émotions et de profondes réflexions.
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Mlle Oishi, Tome 3 : 32 ans, célibataire

« Melle Oishi » raconte la vie réaliste d’une jeune japonaise, de sa vie sentimentale à sa vie professionnelle. Souvent jugée pour son âge, puisqu’elle n’est pas mariée, et pour son indépendance, vivant seule et travaillant. Sa relation avec Henmi va changer la donne même si ce compagnon va vite révéler ses défauts. Dans le premier tome, Kon Oishi à vingt-huit ans et est une éternelle célibataire, à son âge toute jeune japonaise est « censée » se trouver un mari mais les choses ne sont pas aussi simples. Elle va rencontrer Henmi à son travail, un homme fraîchement divorcé et père de deux enfants, il vont rapidement nouer une relation jusqu’à ce qu’Henmi la demande en mariage, Kon, amoureuse et voyant là une chance de sortir de son célibat, accepte. De là, démarre une vie de couple quelque peu chaotique, bridée et décevante pour Kon. Henmi lui demande d’abord de lâcher son travail puisqu’ils vont se marier, elle devra donc s’occuper de la maison, ce qu’elle fait, avant de finalement trouver un autre travail dans une mercerie. De son côté, lui perd son travail suite à un licenciement économique et se révèle être un homme bien différent de ce qu’elle pensait.



Melle Oishi est un personnage féminin fort et doux à la fois, très humaine, elle n’hésite pas à rendre service, passionnée par la couture, le tricot et les tissus, elle travaille dans une mercerie à côté d’un salon de coiffure où elle va rencontrer Tetsu, un coiffeur talentueux et moderne aux multiples piercings cumulant les conquêtes d’un soir qui va vite devenir son meilleur ami et confident. Au travers de quatre tomes de qualité retraçant différentes étapes et épreuves de la vie de la jeune japonaise, on suit ses états d’âmes, ses émotions, sa vie sentimentale mouvementée, souvent très difficile, parfois heureuse, son évolution professionnelle qu’elle gère d’une main de maître malgré les difficultés personnelles. Il y a donc réellement un aspect très mature qui change indéniablement des jeunes adolescentes collégiennes ou lycéennes que l’on côtoie habituellement dans les shojos.



Il est donc intéressant de suivre les étapes de vie de cette jeune femme sur plusieurs années dans une culture où le rôle de la femme est encore brimé par les traditions. Ici le titre est nettement plus adulte avec son lot de drames, de sexe, d’amour, d’amitié et de thématiques fortes et actuelles. C’est ancré dans un réalisme omniprésent, les personnages ne sont pas épargnés et leur vie n’est clairement pas enjolivée.



Kon va vivre des drames, de même que son entourage… On a une ribambelle de protagonistes aux caractères bien définis avec énormément d’individualité pour toujours ouvrir à des sujets souvent réalistes, parfois difficiles et dramatiques, actuels et bien évidemment de temps à autre heureux :



la vie de couple et l’amour avec Henmi, Kaji ou Tomio, des personnalités distinctes, de la déception, du bonheur, de la tristesse, de la passion, de la tendresse, toute une flopée d’émotions attend Kon au travers de ses histoires d’amour,

l’homosexualité avec le frère de Kon, Yukari qui a beaucoup de mal à gérer son orientation sexuelle,

l’amitié avec Tetsu, meilleur ami et confident, séducteur invétéré, il cumule les coups d’un soir mais respecte profondément Kon qui est un peu sa femme idéale, certainement le personnage le plus drôle mais aussi le plus intéressant,

l’amitié et la condition de la femme au Japon avec une amie, reflet idéal de la jeune femme japonaise mariée,

le mariage avec des parents riches qui peinent parfois à s’entendre mais qui sont toujours mariés,

etc…



Des sujets donc très divers allant de la vision de la société japonaise à des sujets pour personnels tel que les amours de l’héroïne.



Du côté visuel, le coup de crayon est clairement dépassé, c’est très épuré, imprécis, rien à voir avec le visuel des mangakas actuels. Pourtant, cela ne nuit pas à la lecture, au contraire, cela donne du contraste au titre entre la simplicité des traits et la force des sujets traités, dramatiques, réalistes et matures. Des thèmes qui parleront aux couples, aux femmes indépendantes et à bien d’autres.



En bref, une série réaliste et mature qui loin de vous embarquer uniquement dans la joyeuseté, vous embarque surtout dans un condensé d’émotions et de profondes réflexions.
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Mlle Oishi, Tome 2 : 29 ans, célibataire

« Melle Oishi » raconte la vie réaliste d’une jeune japonaise, de sa vie sentimentale à sa vie professionnelle. Souvent jugée pour son âge, puisqu’elle n’est pas mariée, et pour son indépendance, vivant seule et travaillant. Sa relation avec Henmi va changer la donne même si ce compagnon va vite révéler ses défauts. Dans le premier tome, Kon Oishi à vingt-huit ans et est une éternelle célibataire, à son âge toute jeune japonaise est « censée » se trouver un mari mais les choses ne sont pas aussi simples. Elle va rencontrer Henmi à son travail, un homme fraîchement divorcé et père de deux enfants, il vont rapidement nouer une relation jusqu’à ce qu’Henmi la demande en mariage, Kon, amoureuse et voyant là une chance de sortir de son célibat, accepte. De là, démarre une vie de couple quelque peu chaotique, bridée et décevante pour Kon. Henmi lui demande d’abord de lâcher son travail puisqu’ils vont se marier, elle devra donc s’occuper de la maison, ce qu’elle fait, avant de finalement trouver un autre travail dans une mercerie. De son côté, lui perd son travail suite à un licenciement économique et se révèle être un homme bien différent de ce qu’elle pensait.



Melle Oishi est un personnage féminin fort et doux à la fois, très humaine, elle n’hésite pas à rendre service, passionnée par la couture, le tricot et les tissus, elle travaille dans une mercerie à côté d’un salon de coiffure où elle va rencontrer Tetsu, un coiffeur talentueux et moderne aux multiples piercings cumulant les conquêtes d’un soir qui va vite devenir son meilleur ami et confident. Au travers de quatre tomes de qualité retraçant différentes étapes et épreuves de la vie de la jeune japonaise, on suit ses états d’âmes, ses émotions, sa vie sentimentale mouvementée, souvent très difficile, parfois heureuse, son évolution professionnelle qu’elle gère d’une main de maître malgré les difficultés personnelles. Il y a donc réellement un aspect très mature qui change indéniablement des jeunes adolescentes collégiennes ou lycéennes que l’on côtoie habituellement dans les shojos.



Il est donc intéressant de suivre les étapes de vie de cette jeune femme sur plusieurs années dans une culture où le rôle de la femme est encore brimé par les traditions. Ici le titre est nettement plus adulte avec son lot de drames, de sexe, d’amour, d’amitié et de thématiques fortes et actuelles. C’est ancré dans un réalisme omniprésent, les personnages ne sont pas épargnés et leur vie n’est clairement pas enjolivée.



Kon va vivre des drames, de même que son entourage… On a une ribambelle de protagonistes aux caractères bien définis avec énormément d’individualité pour toujours ouvrir à des sujets souvent réalistes, parfois difficiles et dramatiques, actuels et bien évidemment de temps à autre heureux :



la vie de couple et l’amour avec Henmi, Kaji ou Tomio, des personnalités distinctes, de la déception, du bonheur, de la tristesse, de la passion, de la tendresse, toute une flopée d’émotions attend Kon au travers de ses histoires d’amour,

l’homosexualité avec le frère de Kon, Yukari qui a beaucoup de mal à gérer son orientation sexuelle,

l’amitié avec Tetsu, meilleur ami et confident, séducteur invétéré, il cumule les coups d’un soir mais respecte profondément Kon qui est un peu sa femme idéale, certainement le personnage le plus drôle mais aussi le plus intéressant,

l’amitié et la condition de la femme au Japon avec une amie, reflet idéal de la jeune femme japonaise mariée,

le mariage avec des parents riches qui peinent parfois à s’entendre mais qui sont toujours mariés,

etc…



Des sujets donc très divers allant de la vision de la société japonaise à des sujets pour personnels tel que les amours de l’héroïne.



Du côté visuel, le coup de crayon est clairement dépassé, c’est très épuré, imprécis, rien à voir avec le visuel des mangakas actuels. Pourtant, cela ne nuit pas à la lecture, au contraire, cela donne du contraste au titre entre la simplicité des traits et la force des sujets traités, dramatiques, réalistes et matures. Des thèmes qui parleront aux couples, aux femmes indépendantes et à bien d’autres.



En bref, une série réaliste et mature qui loin de vous embarquer uniquement dans la joyeuseté, vous embarque surtout dans un condensé d’émotions et de profondes réflexions.
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Mlle Oishi, Tome 1 : 28 ans, célibataire

« Melle Oishi » raconte la vie réaliste d’une jeune japonaise, de sa vie sentimentale à sa vie professionnelle. Souvent jugée pour son âge, puisqu’elle n’est pas mariée, et pour son indépendance, vivant seule et travaillant. Sa relation avec Henmi va changer la donne même si ce compagnon va vite révéler ses défauts. Dans le premier tome, Kon Oishi à vingt-huit ans et est une éternelle célibataire, à son âge toute jeune japonaise est « censée » se trouver un mari mais les choses ne sont pas aussi simples. Elle va rencontrer Henmi à son travail, un homme fraîchement divorcé et père de deux enfants, il vont rapidement nouer une relation jusqu’à ce qu’Henmi la demande en mariage, Kon, amoureuse et voyant là une chance de sortir de son célibat, accepte. De là, démarre une vie de couple quelque peu chaotique, bridée et décevante pour Kon. Henmi lui demande d’abord de lâcher son travail puisqu’ils vont se marier, elle devra donc s’occuper de la maison, ce qu’elle fait, avant de finalement trouver un autre travail dans une mercerie. De son côté, lui perd son travail suite à un licenciement économique et se révèle être un homme bien différent de ce qu’elle pensait.



Melle Oishi est un personnage féminin fort et doux à la fois, très humaine, elle n’hésite pas à rendre service, passionnée par la couture, le tricot et les tissus, elle travaille dans une mercerie à côté d’un salon de coiffure où elle va rencontrer Tetsu, un coiffeur talentueux et moderne aux multiples piercings cumulant les conquêtes d’un soir qui va vite devenir son meilleur ami et confident. Au travers de quatre tomes de qualité retraçant différentes étapes et épreuves de la vie de la jeune japonaise, on suit ses états d’âmes, ses émotions, sa vie sentimentale mouvementée, souvent très difficile, parfois heureuse, son évolution professionnelle qu’elle gère d’une main de maître malgré les difficultés personnelles. Il y a donc réellement un aspect très mature qui change indéniablement des jeunes adolescentes collégiennes ou lycéennes que l’on côtoie habituellement dans les shojos.



Il est donc intéressant de suivre les étapes de vie de cette jeune femme sur plusieurs années dans une culture où le rôle de la femme est encore brimé par les traditions. Ici le titre est nettement plus adulte avec son lot de drames, de sexe, d’amour, d’amitié et de thématiques fortes et actuelles. C’est ancré dans un réalisme omniprésent, les personnages ne sont pas épargnés et leur vie n’est clairement pas enjolivée.



Kon va vivre des drames, de même que son entourage… On a une ribambelle de protagonistes aux caractères bien définis avec énormément d’individualité pour toujours ouvrir à des sujets souvent réalistes, parfois difficiles et dramatiques, actuels et bien évidemment de temps à autre heureux :



la vie de couple et l’amour avec Henmi, Kaji ou Tomio, des personnalités distinctes, de la déception, du bonheur, de la tristesse, de la passion, de la tendresse, toute une flopée d’émotions attend Kon au travers de ses histoires d’amour,

l’homosexualité avec le frère de Kon, Yukari qui a beaucoup de mal à gérer son orientation sexuelle,

l’amitié avec Tetsu, meilleur ami et confident, séducteur invétéré, il cumule les coups d’un soir mais respecte profondément Kon qui est un peu sa femme idéale, certainement le personnage le plus drôle mais aussi le plus intéressant,

l’amitié et la condition de la femme au Japon avec une amie, reflet idéal de la jeune femme japonaise mariée,

le mariage avec des parents riches qui peinent parfois à s’entendre mais qui sont toujours mariés,

etc…



Des sujets donc très divers allant de la vision de la société japonaise à des sujets pour personnels tel que les amours de l’héroïne.



Du côté visuel, le coup de crayon est clairement dépassé, c’est très épuré, imprécis, rien à voir avec le visuel des mangakas actuels. Pourtant, cela ne nuit pas à la lecture, au contraire, cela donne du contraste au titre entre la simplicité des traits et la force des sujets traités, dramatiques, réalistes et matures. Des thèmes qui parleront aux couples, aux femmes indépendantes et à bien d’autres.



En bref, une série réaliste et mature qui loin de vous embarquer uniquement dans la joyeuseté, vous embarque surtout dans un condensé d’émotions et de profondes réflexions.
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Mlle Oishi, Tome 4 : 32 ans, mariée

Je suis contente d'avoir terminée cette série et d'avoir pu la ranger dans ma bibliothèque. Mais je ne pense pas que je vais la resortir pour la relire. J'ai appréciée Kon-chan, et beaucoup le personnage de Tomio dans le dernier tome, mais je ne me suis pas sentie assez proche des personnages pour avoir du mal à quitter leur univers.
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Mlle Oishi, Tome 3 : 32 ans, célibataire

L’amitié entre les deux sexes est importante dans ce tome, tout comme le décès et le deuil d’un être proche. Ce sujet est surtout abordé dans le troisième tome, qui est très triste, mais très juste également. Il m’a beaucoup touché. Mais du coup j’étais d’autant plus heureuse dans le tome 4 lorsqu’on voit Kon remonter la pente.
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Mlle Oishi, Tome 2 : 29 ans, célibataire

De nombreux thèmes sont abordés, comme l’homosexualité, mais aussi la bisexualité et les questions que cela pose. Je trouve que ses sentiments sont détaillés, mais avec pudeur. C’est peut-être ce que j’ai tellement aimé dans cette série, cette retenue et cette douceur. Mais d’un autre côté, j’aime bien me laissé aller dans les mangas, du coup, je n’étais pas totalement emportée.
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