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Critiques de Quentin Victory-Leydier (10)
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Avec John Cassavetes



Avec ou sans Cassavetes ?



C'est une première me concernant, mais je vais citer l'auteur :

"Il y a trop de gens qui se la racontent dès qu'il s'agit d'art et de cinéma... 

Je ne peux que partager ce que je retiens de ces films... c'est une démarche qui si elle se veut humble, peut paraître présomptueuse. J'espère que personne ne trouvera ça prétentieux car cela voudra dire que je me suis trompé"



Hélas !



Contrairement à l'auteur qui avoue parfois "décrocher", lors de la vision de certains films de Cassavetes, pour mieux les revoir par la suite, je me suis efforcé de lire jusqu'au bout son ouvrage sans jamais "décrocher"



Son intention d'aborder le réalisateur autrement que sous le prisme d'une autobiographie était tout à fait louable, il existe déjà de nombreux livres consacrés à John Cassavetes. Ce qui est moins louable, c'est de construire son récit à partir de soi-même.



Certes, il y a de bonnes analyses de certains films lorsque l'auteur part de thèmes précis comme la bagarre, l'alcool, la marche dans les films de Cassavetes où il développe des éléments cinématographiques de façons instructives et passionnantes mais malheureusement, l'auteur en revient très vite à lui-même...



Hélas encore comme quand le fait de revoir le film "Gloria" lui fait penser au film "Léon" de Besson et l'auteur de nous raconter qu'il portait des bretelles comme Reno et qu'il se forçait à boire de grands verres de lait...



Hélas encore et encore lorsqu'il nous explique qu'il ne prend jamais le taxi en France et encore moins la nuit car il se couche de bonne heure....!!!!!!!!!!



Je pourrais vous citer bien d'autres exemples mais je vous promets que je n'ai pas "décroché" mais ce fut juste.





Finalement, une lecture d’une durée plus courte qu’un bon film de Cassavetes mais qui nous en a appris bien plus sur l’auteur que sur le réalisateur. Une rencontre ratée donc mais c’est peut être le style employé qui ne me convient pas .

Alors deux étoiles pour les quelques fulgurances et surtout pour les photos originales (choisies par l'auteur, il a tenu à le préciser).



Je me rends compte que, contrairement à d'habitude, j'ai beaucoup employé le "je", serais-je gagné par le même syndrome que l'auteur... ?





Dommage donc, mais merci tout de même aux éditions LettMotif pour leur envoi de qualité accompagné d'un petit mot et d'un marque page.
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Avec John Cassavetes

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre qui n'est pas une biographie, ni un véritable essai critique sur la filmographie de Cassavetes, mais plutôt... le récit de moments passés avec ses films.

L'auteur choisit la voie introspective, bien qu'avec détachement et dérision, pour parler de ce réalisateur d'exception. A l'occasion de cette commande, il revoit tous les films dans l'ordre chronologique (ou presque) et ressort les essais critiques les plus connus pour y puiser largement.

Première chose: il exècre "l'onanisme interprétatif", les approches analytiques aux terminologies savantes dont le but est de briller.

Lui-même aborde chaque film de manière très terre-à-terre, n'hésitant pas à entremêler des moments de sa vie lors de la rédaction (la perte de sa valise à l'aéroport lors d'un séjour en Norvège par exemple) et ce qui en ressort, ce sont des fragments de pensée plus ou moins organisés qui semblent suivre le fil de sa pensée, mais dont il ressort des analyses très intéressantes.

Ce livre m'a donné envie de redécouvrir John Cassavetes, dont j'adorais les films quand j'étais ado, et surtout, surtout, la merveilleuse Gena Rowlands. Envie de retrouver toute la bande, le couple qu'ils forment, Peter Falk (alias inspecteur Colombo) et Ben Gazzara qui mine de rien ont joué pour Cassavetes pour presque rien, par amitié, plaisir et sans aucun doute conviction.

A savoir: Cassavetes avait réalisé quelques épisodes de Colombo afin de financer l'un de ses films avec ces gains. Lui-même revendiquait son cinéma comme amateuriste, et d'ailleurs l'auteur de ce livre ne cache pas son peu d'estime pour le cinéma américain trop codifié, contrairement à celui de Cassavetes.

Merci à la Masse critique et aux éditions LettMotif pour cette replongée délicieuse dans le monde de ce réalisateur, grâce à cet essai drôle, pertinent, et généreux en illustrations.
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Stéphane Brizé - Vincent Lindon

Comme Quentin Victory Leydier l'auteur de cet excellent ouvrage, le cinéma de Stéphane Brizé m'interpelle, me conforte dans mes convictions et exprime parfaitement tout ce que le monde du travail est devenu ses dernières décennies. Sa trilogie sur le monde du travail fait écho à ma propre histoire (comme à un certain nombre malheureusement), celle d'avoir dit stop avant d'être broyé définitivement par un monde de l'entreprise qui me révoltait et me bouffait l'existence. J'ai eu la chance de pouvoir m'arrêter avant, ce qui est loin d'être le cas d'un grand nombre.

Comme l'auteur aussi, Vincent LINDON est un acteur que j'admire, comme comédien bien sur, mais aussi par l'image qu'il renvoie et par la justesse de ses choix.

Enfin pour les amoureux du cinéma (de préférence au salle), dont je fait aussi parti, l'analyse fine et personnelle du travail de ces deux bons hommes par un passionné ne pouvait que me ravir.

Et c'est bien cela qui est arrivé. Réflexions personnelles et brillantes sur un duo qui à travers cinq films, a construit une œuvre d'une grande richesse, sur des sujets sociétaux majeurs. Le livre étudie avec minutie le remarquable travail effectué tant par le montage de leurs films que par les angles choisis pour démontrer la déshumanisation parfaitement consciente de services RH et d'entreprises dites "respectables" pour les trois derniers films.

Un grand merci à Lettmotif et à Babelio pour cet envoi qui m'a passionné.

PS : ne ratez surtout pas "Un autre monde" actuellement en salle.
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Stéphane Brizé - Vincent Lindon

Voici mon retour de lecture, une lecture marquante et remuante.

Je m'explique :

Ce n'est pas un livre comme les autres sur le cinéma, sur un ou plusieurs acteurs, sur une histoire comme une histoire d'amour, l'histoire d'une guerre, sur l'histoire d'une vie ou d'un événement. Non, c'est bien plus que cela.

Avant de le lire, je me suis interrogée à propos du titre, “Stéphane Brizé-Vincent Lindon”, d'accord, je savais qu'ils étaient liés par cinq films mais ensuite…”Les plans de bataille” ? Voilà qui m'a interrogée.



Alors j'ai commencé et au fur et à mesure j'ai compris que ce livre était bien plus qu'un livre (ça, je l'ai déjà dit). C'est un témoignage, une interrogation sur l'existence, sur la vie, sur le monde actuel, sur le monde du travail, sur la soumission, sur les fractures de la vie, sur la domination, sur le patronat, sur le chômage, sur l'âge aussi.

Car personne ne doit se sentir épargné, personne n'est à l'abri d'un bouleversement, d'une chute, quelle que soit sa forme.



Quentin Victory Leydier chapitre après chapitre nous dévoile les séquences des films de Stéphane Brizé, nous les décortique, nous les explique aussi. La manière de filmer, les plans, les prises de vues, on comprend que tout est en relation avec les sujets.



Pour ceux qui n'ont pas vu les films, ce livre donne très envie de les voir et pour les autres de les revoir.

Je pense qu'en les re-visionnant, je ne les regarderais certainement pas de la même façon, mais très certainement encore mieux...



Je vais terminer mon retour de lecture par ce passage recopié de la page 103 à propos de Vincent Lindon. C'est d'une incroyable exactitude à propos de cet acteur rare et unique que tout le monde aime. Je suis absolument certaine qu'il n'y avait que lui et lui seul pour ces rôles :



“ Vincent, tout le monde le connait, je n'ai rien de nouveau à ajouter sur cet acteur incroyable, sur sa bonté, sa beauté, sa retenue, son empathie, sa douceur, sa tendresse, sa violence, son humilité, sa simplicité, sa complexité, sa générosité ineffable.

Il fait partie de cette petite catégorie d'acteurs qui ne cherchent pas à impressionner, Il ne choisit pas ses rêves en fonction des récompenses possibles, C'est un acteur qui donne le sentiment d'incarner le désintéressement le plus pur. Il fait les choses pour elles-mêmes. le reste importe peu. Il est de ceux que l'on pourrait appeler les acteurs artisans. Ceux qui font et qui le font bien. Ils font bien parce qu'il serait malhonnête de faire autrement. C'est l'opposé des acteurs athlètes. Ceux qui ressemblent trop à des sportifs professionnels…”



Je termine en adressant un grand merci aux Éditions LettMotif pour leur envoi très rapide d'un livre que j'ai vraiment pris plaisir à lire. Un grand merci également à Babelio et à Nicolas pour m'avoir sélectionnée pour cette Masse Critique et un grand merci à l'auteur Quentin Victory Leydier pour la lecture marquante de mon début d'année 2022, elle restera un beau souvenir !

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Retour à Philadelphie

Voici un bel essai qui vient nous parler, avec érudition mais sans pesanteur, de Sylvester Stallone et de « Rocky ». L’auteur aime le personnage, qu’il s’amuse d’ailleurs à faussement interviewer pour l’entretenir, notamment, de la vision très partiale, pour ne pas dire obtuse, d’une grande partie de la critique française à son encontre. Car, cette « promenade amoureuse » s’éloigne de la critique au sens propre (de toutes manière que pourrait on critiquer concernant une des meilleures sagas du 7ème art ?) pour privilégier la réhabilitation. Comme le dit l’auteur « on ne devrait parler que de ce qu’on aime » mais, malheureusement, les chroniqueurs préfèrent souvent tirer à bouler rouge sur Stallone, identifié à sa marionnette popularisée par les Guignols et archétype de l’Américain (très) moyen forcément bellicistes, matérialiste et un brin raciste sur les bords.

Rocky n’a pas échappé à l’entreprise de démolition (bien que le premier film ait été généralement bien accueilli et que « Creed » ait contenté les progressistes) mais le cœur de la saga, à savoir les épisodes II, III et surtout IV, furent trainés dans la boue et accusés de tous les maux : Reaganien (alors que les premiers épisodes furent tournés avant l’accession de Reagan à la présidence comme le précise avec humour l’auteur), xénophobe, anti-Russe (en dépit du discours de réunification final trop souvent vu de façon amusée alors qu’il se montre sincère dans sa tentative de rapprochement Est / Ouest à une époque où le cinéma populaire américain était bien moins nuancé), glorifiant l’argent et la réussite personnelle (ce qui, selon nos chantres du bon goût constitue forcément une faute !).

Souvent, ces critiques n’ont fait que survoler les films et y ont appliqués leur grille de lecture forcément biaisée, gauchisante et limitative (car, en se mettant les bonnes œillères il est en effet possible, avec un brin de mauvaise foi, de faire dire à une œuvre tout et même son contraire) et de répéter en boucle l’avis d’un Télérama (horreur !) qui n’y voit que « nanar », le vilain mot que l’on emploie lorsqu’on n’aime pas quelque chose sans vraiment pouvoir le définir. Car aujourd’hui, tout est nanar, pour peu que ça ait plus de 5 ans d’âge : le cinéma d’horreur des années 80 ? Nanar ! Le kung fu ? Nanar ! La comédie estudiantine ? Nanar ! Le film d’action ? Nanar ! Alors forcément, un Rocky parfois simple mais toujours premier degré ne peut qu’être nanar pour les chantres du bon goût, toujours si sûr d’eux qu’ils ne peuvent imaginer un « film de genre » sans (au mieux) dérision et (au pire) mépris.

Après le très réussi SYLVESTER STALLONE, HEROS DE LA CLASSE OUVRIERE et le Mad Movies consacré à Rocky, ce nouveau livre vient remettre les pendules à l’heure : Stallone est attachant, « Rocky » est un chef d’œuvre et ses suites dessinent une formidable chronique de l’Amérique de ces quarante dernière années. Et l’acteur aurait bien mérité son Oscar. Mais qu’importe, Rocky a sans doute fait plus pour bien des gens que la plupart des vainqueurs de récompenses. Un round à la fois, un pas après l’autre, les amateurs finiront bien par convaincre les indécis ou les sceptiques.



Merci à Babelio et Masse critique!
Lien : http://hellrick.over-blog.co..
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Stéphane Brizé - Vincent Lindon

Ce livre est une porte ouverte sur un style de cinéma que je connais finalement assez peu et qui me donne envie d'en découvrir d'avantage.

Quentin Victory Leydier décripte cinq films du réalisateur Stéphane Brizé, dans lequel l'acteur principal est Vincent Lindon , acteur que j'aime beaucoup. Il explique l'utilisation des procédés techniques qui font un film, les dialogues, langage...

Une vision douloureuse du monde du travail et de la place de l'humain dans notre société apparaît clairement dans ces œuvres de fiction.

Je remercie Babelio et les éditions Lettmotif pour l'envoi de ce livre lors de la masse critique de février.



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Stéphane Brizé - Vincent Lindon

Le 16 février, sortait en salles le nouveau film de Stéphane Brizé, Un nouveau monde dont on vous a vanté tous les mérites mercredi dernier .





Le 16 février, paraîssait aussi le nouveau livre de Quentin Victory Leydier : Stéphane Brizé-Vincent Lindon, les plans de bataille.



Passionné par le cinéma depuis toujours, Quentin Victory Leydier a réalisé plusieurs courts-métrages, avant de consacrer sa vie à l’enseignement des lettres modernes au collège.



Après Retour à Philadelphie, son premier ouvrage consacré à la saga Rocky, il s’intéresse aux films réalisés par Stéphane Brizé avec Vincent Lindon et c'est tout aussi passionnant. Voici une présentation par l'auteur du projet de son livre :
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Retour à Philadelphie

Il ne faut pas spécialement être fan de Rocky ou de Sylvester Stallone pour lire ce livre.

J'irais même jusqu'à dire, si vous n'aimez pas Rocky/Stallone, lisez le.



L'auteur nous présente Rocky pour ce qu'il est réellement, c'est à dire une oeuvre complète, un film en plusieurs parties et non pas une suite de films.

Il nous fait comprendre à quel point le personnage Rocky et Sylvester Stallone ne font qu'un. Que c'est dans sa vie, son intimité, ses erreurs qu'il puise le scénario de ses films, avec du très bon et du moins bon.

Le livre présente Rocky et son entourage sur un aspect analytique, chaque rôle a au moins autant d'importance que Rocky si ce n'est plus. Il prouve, si c'était nécessaire, que Rocky n'est absolument pas un film sur la boxe ; la boxe est juste un prétexte, un fil conducteur et Rocky est loin d être un artiste du noble art.

C'est juste la vie d'un homme perdu, en proie à des doutes, des lacunes, qui essaie d'être le plus sincère possible avec lui même et ses proches, qui bataille avec le peu que la vie lui a donné. C'est pourquoi il est attachant, parce que nous lui ressemblons à un moment ou à un autre de notre vie.

Enfin, Quentin Victory-Leydier montre que Stallone est avant tout un homme de cinéma, un scénariste, metteur en scène, acteur, producteur. Il maîtrise les messages que le cinéma peut envoyer, il n'est pas le paquet de muscles que ses détracteurs veulent en faire. Au regard de l'auteur, on comprend même que sa carrure semble plus une carapace, un costume, un accessoire de cinéma.

Véritable regard sur un personnage qui dépasse le cadre du cinéma, le livre se veut sincère, sans concession et nous plonge dans l'ambiguïté psychanalytique d'un homme et de sa création.



Un très bon livre que j'ai aimé car l'auteur prend le risque d'élever un personnage, souvent caricaturé, à sa vraie valeur et à sa contribution au 7ème art. Il ne tombe jamais dans la facilité d'une anecdote de tournage, va au fond des choses. Il décortique, analyse et c'est inhabituelle pour un film de Stallone, il nous fait bien comprendre que Rocky et Stallone c'est un pan entier de l'histoire du cinéma.





Merci aux Editions Lettmotif, Babelio et sa Masse critique !











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Avec John Cassavetes

Merci d'abord à Babelio et aux éditions LettMotif pour cet envoi dans le cadre de Masse critique.

Je suis une fan des films de John Cassavetes depuis que je les ai découverts dans ma vingtaine (c'est à dire il y a plus de 35 ans) et il fait partie de mes réalisateurs préférés. Autant le dire tout de suite, le livre de Quentin Victory Leydier n'est pas un ouvrage académique d'analyse filmique et l'auteur s'en défend dès le début. Il est plutôt le récit de son propre itinéraire de spectateur, un spectateur qui se laisserait porter par ce flux des films de Cassavetes et fuyant toute lecture de ses films qui se voudrait interprétative. En un sens, il a raison puisque le cinéma de Cassavetes est d'abord un cinéma de l'expression de l'émotion, celle-ci prévaut sur toute considération esthétique à priori et l'acteur est au centre de son cinéma (il se différencie en ce sens des réalisateurs auteurs français de la Nouvelle Vague). Quentin Victory Leydier cite à nombreuses reprises des travaux précédents sur Cassavetes. J'ai eu du mal parfois à supporter certains passages où, le style se voulant décontracté, une de ses affirmation se termine par un "et merde" ou certaines digressions comme celle où notant que les personnages des films de Cassavetes se déplacent souvent en taxi, ça doit leur coûter cher : "Remarquez, je ne le prends jamais en France, donc je n'en sais pas grand-chose. Il faut bien avouer que je n'ai aucune raison de la prendre, encore moins la nuit, je me couche de bonne heure". (??? Mais qu'est-ce que ça vient faire là ?).

L'avantage principal de ce livre (le seul en ce qui me concerne) est le nombre important de photogrammes extraits des films de Cassavetes.



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Retour à Philadelphie

C'est un livre très intéressant même si réservé aux aficionados des Rocky ou même de Stallone en général. J'avais vu les Rocky, enfin quasiment tous, et j'avais beaucoup apprécié les premiers. J'étais donc une cible de choix, et je n'ai pas été déçue. L'auteur essaie de montrer son point de vue sur ce dont parle "en réalité" les films, mais aussi sur les critiques dont ils ont pu faire l'objet. Il tente par exemple de réhabiliter le 4ème volet de la saga ou encore de montrer l'importance capitale d'Adrian dans la série, loin du personnage secondaire et effacé. Beaucoup de théories parfois nouvelles pour moi qui m'ont permise de me replonger avec bonheur dans la série.
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