Les plus belles pages de la littérature française racontent l'éveil à un monde en ruines d'une conscience privée de boussole. Qu'y a-t-il de commun entre le romantisme désabusé de Musset, la colère révolutionnaire de Nizan et le rationalisme cartésien ? Cette expérience de la forêt qui reproduit l'acte de naissance renardien de notre identité. Notre littérature est une plongée sans cesse répétée dans notre trouble originel.