Nationalité : France
Né(e) à : Prats-de-Mollo (Pyrénées-Orientales) , le 11/03/1914
Mort(e) à : Prats-de-Mollo (Pyrénées-Orientales) , le 30/11/2007
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Né(e) à : Prats-de-Mollo (Pyrénées-Orientales) , le 11/03/1914
Mort(e) à : Prats-de-Mollo (Pyrénées-Orientales) , le 30/11/2007
Biographie :
Raymond Blanc, né le 11 mars 1914 à Prats-de-Mollo (Pyrénées-Orientales), est un auteur français de roman policier, il a exercé la profession de journaliste
Il est mort dans sa belle ville de Prats de Mollo le 30 novembre 2007.
l prend la succession de son père comme propriétaire d'une entreprise de fabrication d'espadrilles.
À 16 ans, il publie des comptes rendus de matchs du rugby dans La Dépêche du Midi. Après la Deuxième Guerre mondiale, il est correspondant régional pour le même journal et fait paraître quelques reportages sur le département des Pyrénées-Orientales.
Il amorce sa carrière proprement littéraire en publiant dans la presse, vers 1955, deux romans feuilletons et une cinquantaine de contes, légendes et courts textes qu'il signe parfois de pseudonymes.
Des nouvelles policières envoyées à Mystère magazine ayant été retenues, il écrit des romans policiers humoristiques, un peu dans la veine de Charles Exbrayat, et en publie quatre dans la collection Le Masque qui ont pour cadre la Catalogne, dont Un pauvre type, lauréat du prix du roman d'aventures 1968.
Il a également signé un roman de science-fiction, La Vie en 2997, en 2001.
+ Voir plusRaymond Blanc, né le 11 mars 1914 à Prats-de-Mollo (Pyrénées-Orientales), est un auteur français de roman policier, il a exercé la profession de journaliste
Il est mort dans sa belle ville de Prats de Mollo le 30 novembre 2007.
l prend la succession de son père comme propriétaire d'une entreprise de fabrication d'espadrilles.
À 16 ans, il publie des comptes rendus de matchs du rugby dans La Dépêche du Midi. Après la Deuxième Guerre mondiale, il est correspondant régional pour le même journal et fait paraître quelques reportages sur le département des Pyrénées-Orientales.
Il amorce sa carrière proprement littéraire en publiant dans la presse, vers 1955, deux romans feuilletons et une cinquantaine de contes, légendes et courts textes qu'il signe parfois de pseudonymes.
Des nouvelles policières envoyées à Mystère magazine ayant été retenues, il écrit des romans policiers humoristiques, un peu dans la veine de Charles Exbrayat, et en publie quatre dans la collection Le Masque qui ont pour cadre la Catalogne, dont Un pauvre type, lauréat du prix du roman d'aventures 1968.
Il a également signé un roman de science-fiction, La Vie en 2997, en 2001.
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LE BEL ALEX, premier roman graphique de Julia Reynaud récompensé du Prix Raymond Blanc en 2020 est disponible en librairie. Découvrez maintenant quelques images de cette histoire à l'ambiance hypnotique.
Citations et extraits (2)
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Au commissariat de police de Ripoll, Borrello rencontra son vieil ami l’inspecteur Cubells. Ils se donnèrent une fraternelle accolade.
- Marcelino !
- Alberto !
- Tu ne vieillis pas.
- Le temps n’a pas de prise sur toi, on dirait même que tu rajeunis.
Cet échange d'amabilités dura dix bonnes minutes, la famille, les distractions, les promotions, les décorations, tout y passa. Puis ce fut le travail.
- Marcelino !
- Alberto !
- Tu ne vieillis pas.
- Le temps n’a pas de prise sur toi, on dirait même que tu rajeunis.
Cet échange d'amabilités dura dix bonnes minutes, la famille, les distractions, les promotions, les décorations, tout y passa. Puis ce fut le travail.
On me qualifie de bon garçon lorsque je ne gêne personne :
-FELIPE, le photographe, quel brave type ! Il n’a pas pour un sou de malice.
Si le hasard me met en travers des visées de quelqu’un, l’épithète change et la locution interjective fuse :
-Pauvre type !
Si j’étais violent, je serais un imbécile quand même, mais on me respecterait :
-Attention à FELIPE, il a mauvais caractère.
Je dois à ce manque de vivacité d’esprit ma nomination de juge local de San Juan de los Angeles. Personne ne voulait remplir cette compromettante fonction, alors, on a donné mon nom à mon insu. Je n’ai pas eu le courage de refuser :
Pauvre type !...
-FELIPE, le photographe, quel brave type ! Il n’a pas pour un sou de malice.
Si le hasard me met en travers des visées de quelqu’un, l’épithète change et la locution interjective fuse :
-Pauvre type !
Si j’étais violent, je serais un imbécile quand même, mais on me respecterait :
-Attention à FELIPE, il a mauvais caractère.
Je dois à ce manque de vivacité d’esprit ma nomination de juge local de San Juan de los Angeles. Personne ne voulait remplir cette compromettante fonction, alors, on a donné mon nom à mon insu. Je n’ai pas eu le courage de refuser :
Pauvre type !...
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