Il y a fauve et fauve, conclut-il. Goupil est une hyène, qui se délecte des cadavres que nous lui abandonnons. Il prétend concilier les profits illicites de l'industrie délinquante avec le confort moral du bourgeois établi et décoré. C'est la raison pour laquelle il parlera. Ces petites gens de la malfaisance répugnent à s'assumer.