Si l'on me demandait en quoi cela vaut la peine de s'intéresser aux chats, je serais forcé de convenir qu'il n'y a pas de raison objective. Je préférerais de loin convaincre un Anglais de la saveur exquise des cuisses de grenouille. Néanmoins, je sympathise totalement avec ce mandarin qui coupa la manche d'un somptueux kimono parce qu'un petit chat dormait dessus.