Peu après, on apprit avec stupeur que « les Messieurs en redingote » avaient signé le Diktat de Versailles. Mais Rossbach n'en toucha pas un mot. La nouvelle n'eut même pas l'air de le concerner. Il dit seulement que la vraie Allemagne n'était pas à Weimar, mais partout où les hommes allemands continuaient à se battre.
Page 138 (dans l'édition Folio)