C'est un sujet que nous avions abordé quelques fois, Traiben et moi, quand étions plus jeunes, et nous avions la même opinion : il n'y a pas de conscience dans la mort. C'est un effacement. Chacun vit ses quatre dizaines d'années, ou quelques dizaines de plus si les dieux lui ont donné le privilège de la double vie, puis disparaît et c'est tout.