Les cimetières parisiens sont très beaux, on peut s'y promener à loisir. (...)
Au cimetière de Passy, le monument funéraire de Marie Bashkirseff, la petite Russe passée à la postérité grâce à son Journal, est meublé de façon extraordinaire, en style 1880, avec des photos, des tableaux, des bustes. C'est un salon. (p. 12),