"La victoire est à nous, dictateur, me disais-je à moi-même. Qui sait si cela durera, si nous vivrons, mais ici maintenant nous t'avons vaincu. Tu gagneras sans doute parce que tu es un criminel et que nous sommes les enfants d'une Syrie qui a disparu... Mais ici, maintenant, nous t'avons vaincu!" Cette sensation de triomphe ne dura qu'un court instant, le bombardement s'intensifia, nous plongeant dans le silence.