Que le changement des circonstances nous fait juger différemment d’une action ! On la condamne, on la sanctifie, suivant l’utilité qu’on y trouve. Avec quel soin par conséquent ne devrait-on pas se former des principes solides, des distinctions entre le bien et le mal qui soient indépendantes de l’intérêt propre ?
Lettre 95 : Miss Clarisse Harlove à Miss Howe.