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Citations de Sarah Addison Allen (37)


— Il m’a dit qu’il viendrait ici pour parler. Dans un lieu public. Pourquoi ? Il croit que je vais faire quoi si on est seuls, l’abattre ?
— Les hommes. On ne peut pas vivre avec, on ne peut pas vivre sans et on ne peut pas les abattre.
— Comment peux-tu être si calme ? Comment te sentirais-tu si ton mari te posait un lapin ?
— Étant donné qu’il est mort, Fred, je ne serais pas surprise outre mesure.
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Elle était tellement sudiste que ses larmes venaient tout droit du Mississippi et qu'elle sentait toujours imperceptiblement le coton et les pêches.
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Summer is wonderful. Fresh air, open windows, picking tomatoes and eating them while they're still warm from the sun.
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Le bonheur vous remplit, mais lorsque l'on est heureux pour quelqu'un d'autre, cela déborde.
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roman frais léger, personnages sympatiques
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Vivre,c'est faire des expériences,Claire, dit enfin Sydney. Tu ne peux pas tout maîtriser.
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Tandis qu'il s'éloignait, elle songea combien c'était triste de se dire qu'elle n'avait aimé qu'un seul homme : celui-là, qui l'avait depuis longtemps reléguée au rang de frasque de jeunesse, alors qu'elle l'avait considéré comme l'amour de sa vie.
Elle regrettait vraiment de ne pas savoir jeter des sorts
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histoire mystérieuse de deux sœurs qui rencontre l'amour avec des petites touche d'humour. J'ai surtout apprécié l'humour concernant le pommier.
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Les livres peuvent être possessifs, hein ? Vous marchez dans une librairie, et soudain l'un d'eux vous saute au visage, comme s'il avait bougé de lui même, rien que pour attirer votre attention. Parfois, ce qui se trouve à l'intérieur change votre vie, mais parfois il n'y a même pas besoin de le lire, Sa simple présence peut être réconfortante. Beaucoup de ces livres n'ont jamais été ouverts, « Pourquoi les acheter si vous ne les lisez pas ? » nous demande notre fille, C'est comme demander à quelqu'un qui vit seul pourquoi il a un chat, Pour nous tenir compagnie, évidemment.
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- L'amour fait toujours souffrir. Tu le sais déjà. Tu ignores juste que ça en vaut la peine.
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C'était le meilleur premier baiser de toute l'histoire des premiers baisers. C'était doux comme du sucre. Et chaud, chaud comme une bonne tarte. Le monde entier s'est ouvert et j'ai basculé. Je ne savais plus où j'étais, mais je m'en moquais. Parce que la seule personne qui comptait était là, avec moi.
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« - Est-ce que vous avez une pièce préférée ?
– Oui.
– Quelle rapidité ! Laquelle ?
– La bibliothèque, dit-elle doucement.
George sourit.
– Comme ma femme. Je vous suis.
Il y avait un feu dans la cheminée, qui se reflétait sur le bois sombre des étagères encastrées sur toute la hauteur de la pièce. Le moindre centimètre de mur disparaissait sous des livres. Cette pièce était si harmonieuse, si chaleureuse. Elle en avait rêvé pendant des semaines, après l’avoir vu lors de sa première visite (…)
– Que feriez-vous de cette pièce si elle était à vous ?
– Rien, dit Chloe en avançant de quelques pas. Elle est parfaite telle quelle. J’ai des livres. Dans des centaines de cartons. Ils iraient tous ici.
– Vous êtes une lectrice, alors ?
Elle s’arrêta en lui tournant le dos, caressa le dos d’une rangées de livres.
– J’ai… une relation particulière avec les livres.
– Ils peuvent être possessifs, hein ? Vous marchez dans une librairie, et soudain l’un deux vous saute au visage, comme s’il avait bougé de lui-même, rien que pour attirer votre attention. Parfois, ce qui se trouve à l’intérieur change votre vie, mais parfois il n’y a même pas besoin de le lire. Sa simple présence peut être réconfortante… »
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Lorsque Josey découvrit à son réveil ses fenêtres couvertes de givre, elle sourit. Enfin ! Il faisait assez froid pour porter de longs manteaux et des collants. Assez froid pour les écharpes et plusieurs couches de tee-shirts, comme un camouflage. Assez froid pour son cardigan rouge porte-bonheur, assurément doté d'un pouvoir magique. Elle adorait cette saison.
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A chaque lune montante, Claire rêvait immanquablement de son enfance. Elle essayait de rester éveillée tandis que les étoiles clignaient de l’œil , l’astre, mince croissant d’argent, regardait le monde de haut avec le même sourire provocateur que les jolies femmes sur les affiches publicitaires rétro. Ces nuits-là, en été, Claire jardinait à la lumière des lampes à énergie solaire qui bordaient le sentier , elle désherbait et taillait les fleurs nocturnes : la belle-de-nuit et la trompette des anges, le jasmin et le tabac. Celles-ci ne faisaient pas partie des espèces comestibles du patrimoine Waverley. Claire les avait plantées pour occuper ses insomnies, lorsqu’elle était si énervée que la frustration consumait le bord de sa chemise de nuit et allumait de minuscules incendies au bout de ses doigts.
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Elle avait besoin de cette preuve.Oui tout allait bien se passer maintenant .Tout était parfait.
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Parfois, les gens qui étaient ensemble depuis longtemps idéalisaient le passé. En vieillissant, les souvenirs, même les plus durs, tendaient à se ramollir, comme les pêches.
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Elle les sentait, ces couleurs si fraiches qu’elles semblaient tièdes, comme des flocons de neige.
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Elle était heureuse, or le bonheur pouvait vous faire oublier la présence du mal dans le monde. Bay n'était pas assez heureuse pour oublier. Rien n'était encore parfait.
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Emma ne se laisserait jamais d'essayer de rendre son mari heureux. C'était seulement un peu difficile parfois, quand elle ignorait ce qu'il souhaitait vraiment. Elle voulait qu'Hunter John l'aime. Mais, au bout du compte, si ce n'était pas le cas, elle préférerait l'ignorer. Elle préférerait l'absence d'amour à la rupture. Elle se demanda si sa mère s'était résignée elle aussi, si l'amour lui importait ou non.
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- J'ai parfois l'impression que tu as idéalisé cette période de sa vie, je ne sais pas si, au départ, elle avait l'intention de rester à Bascom, mais moi j'ai su dès notre arrivée que je ne voudrais jamais en partir. La maison et grand-maman étaient des choses immuables et, quand j'étais jeune, c'est tout ce dont je rêvais. Mais quand tu es née, j'ai été très jalouse. À peine venue au monde, tu recevais cette securité que je navais pas eue. C'est ma faute si nous ne nous entendions pas étant petites. J'étais jalouse que tu sois née ici. Je suis désolée. Je regrette de ne pas être une meilleure soeur, de ne pas mieux me comporter avec Tyler. Je sais que ça te rendrait heureuse. Mais je suis comme je suis. Je ne peux mempêcher de penser que tout est temporaire et ça me fait peur. J'ai peur que les gens me quittent.
- Vivre, c'est faire des expériences, Claire, dit enfin Sydney. Tu ne peux pas tout maîtriser.
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