Car à l'usine le contact entre les ouvriers est faible, et chacun est très seul ; la pudeur, la fierté, la timidité, le besoin de détourner la pensée des nécessités trop dures auxquelles on se plie, la difficulté d'exprimer ce qu'on ressent, tout conspire pour amener chacun à taire ses souffrances, et surtout ses souffrances les plus profondes.