Doué d’une perversité naturelle, Léonard communie avec ses amants en une sorte de désir panthéiste.
– Alors c’est mon corps qui pense, et ça me repose, avoue-t-il à Melzi.
Léonard n’est pas loin de croire que la peau a une âme et qu’en vieillissant le plaisir l’embrase tout entière.