La dame en brune s'en est allée en novembre 1997. Peut-être y a-t-il quelque part un oiseau rare prêt à prendre son envol, à nous consoler de l'absence du piaf et de l'aigle. Un autre être d'exception, une femme chantante qui saurait offrir, avec le même absolu, ses rires et ses larmes, sa tendresse et sa véhémence, son humour et son désarroi, ses blessures, sa dignité, ses contradictions. Son talent. (Préface de Georges Moustaki)