AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

4.4/5 (sur 5 notes)

Né(e) à : Pathri , le 08/1888
Mort(e) à : Mumbai , 1936
Biographie :

Sri Siddharameshwar Maharaj était un gourou indien. Il enseignait la doctrine de l'Advaita Vedānta

Ajouter des informations
Bibliographie de Sri Siddharameshwar Maharaj   (4)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Celui qui s'éveille réalisera ceci. Tout est Dieu. Si vous pratiquez ceci et le prenez à coeur, alors (la réalisation sera) tout est Brahman. On doit arroser une plante jusqu'à ce qu'elle fasse ses racines. Alors elle croîtra par elle-même. Vous devriez persister dans votre pratique jusqu'à ce que vous réalisiez ceci.
Commenter  J’apprécie          90
En essayant de décrire l'Absolu (Parabrahman), même Sheshadevient sans voix. Après avoir écarté les corps grossier, subtil et causal, ce qui reste, est Shesha (signifie littéralement « reste ») - la Connaissance dans le corps supra-causal. Ce Seigneur Shesha (ou le corps supra­causal) se connaît Lui-même, mais sa connaissance ne fonctionne pas dans le royaume de l'Absolu. Ici, l'intelli­gence ou la compréhension du Seigneur Shesha s'efface. Connaissance et ignorance, les deux n'existent pas dans l'Absolu (Parabrahman).
Commenter  J’apprécie          80
Tout ce qui peut être vu ou ressenti sera un jour détruit. Le visible est le fruit de notre imagination et ce qui existe ne repose que sur la mémoire.
La nuit, quand la mémoire est au repos, tout s'efface, sauf si vous êtes tourmenté par quelque chose qui vous empêche de dormir.

Le sommeil est un état où le monde est oublié. Dès que nous nous oublions tout disparaît. Ce qui peut disparaître dans l'oubli n'est pas réel.
Commenter  J’apprécie          70
Vous êtes devenus le corps physique parce que ce corps est l'objet unique corporel parmi vos concepts. Les domestiques et les préposés devraient être considérés comme Dieu. Il n'y a rien d'autre que Brahman avec ou sans qualité. Tout est Govinda (Dieu). Puisque nous classons tous les objets par catégorie, il y a le moi (jiva). Vous percevez l'épouse comme épouse, fille comme fille, cheval comme cheval ou chien comme chien. Ils sont tous Brahman seulement. Il n'y a aucun besoin de changer la forme des objets. Seulement l'attitude du sujet doit changer. Brahman est identique même lorsqu'il est dans un état avec des attributs. Vous devriez voir Brahman dans quelqu'état qu'il existe. Même les atomes et les molécules d'une chaise sont toutes le seigneur Krishna (Brahman). Une fois que cette attitude est prise, alors il est lui-même Brahman. Que l'on dorme, se réveille, ou aille se promener, on n'a en fait pas dormi, on ne s'est pas réveillé, ni allé promené. Quand tout est Brahman, qui mange et dort ? Celui qui est sans qualité et celui qui parle (c.-à-d. avec la qualité) sont Dieu
Commenter  J’apprécie          60
Rien au monde n’est plus important que la connaissance de soi, aucune autre activité ni aucun autre accomplissement n’ont de sens. Les sages ne nourrissent qu’un seul désir dans leur cœur, celui de Réaliser l’Unité avec l’Essence de toute chose.
Commenter  J’apprécie          60
Tant que les objets sont pris pour exister vraiment, le sujet reste. Car l'être est conceptuel, tout comme le sujet. Si vous appelez cette ville `Bombay ', elle apparaît comme Bombay; si vous l'appelez terre, elle apparaîtra comme terre. Tout dépend du concept du sujet. Si vous appelez un objet une chaise, c'est une chaise; si vous l'appelez bois, c'est du bois. Si vous appelez tout Brahman, alors tout est Brahman. Si vous l'appelez le monde, c'est le monde. Tous les objets dépendent du concept du sujet. Mais Brahman est au delà des concepts et aucun concept ne peut le concevoir
Commenter  J’apprécie          50
L'état qui correspond au corps grossier est l'état de veille, et vous n'êtes pas cela. Libérez-vous de l'identification au corps mortel qui vous limite.

Vous dites vous-même que ce corps vous appartient, mais cela implique que vous n'êtes pas lui, alors qui êtes-vous ?
Commenter  J’apprécie          50
Dans ce monde, il y a trois choses qui sont très difficiles à acquérir: le corps humain, le désir pur et le véritable maître (sadguru). Posséder ces trois trésors est une chance indescriptible. Le corps humain est la terre et le pur désir d'atteindre I'ultime accomplissement est l'eau nourricière. Le "je suis" est la graine plantée par le fermier qui n'est autre que le maître suprême. Quelle ré- colte merveilleuse lorsque ces trois facteurs sont réunis! Puis, quand il y a le discernement entre la non-essence ("je suis") et l'essence ("je" n'existe pas), peut-on récolter autre chose que la félicité suprême?
Commenter  J’apprécie          40
A quoi bon cuisiner quand l’estomac est plein ? Puisque la vérité est évidente en soi, nul besoin de pratiquer quoi que ce soit. Celui qui pense à une méthode pour la comprendre ne fait que confirmer la présence du doute en lui ; « Que faire, Où aller ? » Il n’y a rien à faire et nulle part où aller. Celui qui suit une méthode pour atteindre la réalisation suppose a priori qu’il est le corps et que maintenant il doit devenir Dieu. Mais lorsqu’on est déjà roi, pourquoi vivre en mendiant ?

Tous les doutes doivent se consumer par la compréhension que l’on est le Soi.
Commenter  J’apprécie          40
Seul le Soi intérieur, sous la forme du principe de vie demeurant dans les bêtes, les oiseaux, les dieux, les démons et les humains, protège tout. S'Il n'est pas là, on est sans vie comme du bois sec. Toutes les célébrations ont lieu parce qu'Il est présent. À cause de Lui, toutes les affaires du monde et toutes les affaires spirituelles ont lieu. Dieu-homme, pureté-impureté sont là aussi longtemps qu'Il est là. Celui qui attribue la divinité aux dieux est seulement ce Soi intérieur. Tant qu'Il pense à des questions matérielles, il est une personne (jiva) ; s'Il se tourne vers la Connaissance, il est la Conscience universelle (Shiva) ; et lorsque l'identité de la personne et l'identité de la Conscience universelle ne sont plus, Il est l'Absolu (Parabrahman). Le même Soi, quand il accomplit des tâches modestes, est un ouvrier ; lorsqu'il juge, il est un juge ; et lorsqu'il prend sa retraite, il est dans l'état originel.
Commenter  J’apprécie          30

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Sri Siddharameshwar Maharaj (6)Voir plus

Quiz Voir plus

Tous les matins du monde

En qu'elle année Pascal Quignard a-t-il écrit Tous les matins du monde?

1816
1917
1991
1899

10 questions
284 lecteurs ont répondu
Thème : Tous les matins du monde de Pascal QuignardCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *} .._..