Stéphane Bileau

Je ne sais plus de quoi parler le tome 18 dont celui ci s'aligne en suite directe, mais il me semblait que cela partait un peu dans tous les sens et que c'était un peu le bordel. Les idées ne manquent pourtant pas et de bonnes idées! Encore faut il les ordonner correctement pour produire un bon récit.

Olivier Péru a la lourde tâche de mettre un peu d'ordre dans tout cela. L'héritage des cristaux elfiques ( qui rappellent furieusement quand même les pierres d'infinité de Thanos!!) semble être l'enjeu de la suite de la série.

On se retrouve donc aux prises avec deux monstres qui n'ont pas la même vision du monde et qui n'utilisent pas les mêmes moyens pour parvenir à leurs fins. D'un côté nous avons le "méchant", cet Aruspice, qui veut plus de pouvoir, conquérir tout le monde... et encore plus de pouvoir et qui ne reculera devant rien pour y parvenir. De l'autre nous avons la gentille, Alyana, qui obtient de plus en plus de pouvoir, dont elle ne sait si elle saura, pourra s'en servir pour le bien, et qui finalement finit par passer aux yeux de ses amis pour un monstre. De deux maux lequel est le moindre et lequel choisir pour éviter la grande catastrophe qui s'annonce? Toute la question est là et la réponse se trouve dans la résolution de ce tome qui se termine dans le sang, les tripes, le chaos et la mort... je suis désolé mais je n'ai pas adhéré et j'ai connu mieux dans cette série.

Alors oui je souligne l'effort de l'auteur pour donner du corps aux cristaux elfiques, aux géants et même à ce mage ( l'Aruspice en question annonce clairement l'arrivée de la prochaine série dans l'univers des Terres d'Arran), tenter de redonner un souffle à la série là où elle commence dangereusement à s'épuiser ( à s'éparpiller!, à s'oublier!), ( ce tome en soi n'est pas mauvais, il assure simplement le minimum!) mais il serait peut être tant de faire un peu le tri, de remettre les choses à plat, peut être d'en dire un peu moins pour le dire mieux...

Dans ce troisième opus de la saga Elfes, nous suivons le personnage de Fall parti, avec son père, sur les traces d'un dragon blanc. Il a la faculté de se connecter avec le dragon et espère à terme réussir à le "dompter" grâce à cette capacité. Dans leur quête ils vont faire quelques rencontres, en particulier des hommes dont le père de Fall se méfie particulièrement.



J'ai moins accroché sur ce troisième tome que sur les précédents. D'une part, je préférais le graphisme et les couleurs du premier tome. Ce qui ne veut pas dire pour autant que je ne les ai pas aimés ici, bien au contraire.

Et d'autre part j'ai souvent eu le sentiment que l'histoire avançait trop vite et qu'on loupait des épisodes. L'enchaînement ne me semblait pas toujours logique. Après il est certain que sur un format bande-dessinée, on ne peut pas s'attarder sur tous les détails, et il faut savoir faire des choix au niveau de la trame.



En revanche, j'ai beaucoup aimé le personnage de Fall et son évolution. J'ai été très surprise du dénouement. Mais j'ai aimé être surprise de cette façon justement.



J'ai donc passé un très bon moment de lecture avec cette bande-dessinée même si j'aurais aimé quelques détails en plus à certains moments de l'histoire.
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Une histoire pleine de violence mais de beaux sentiments, servie par des superbes dessins, que demander de plus ?

Bon de cette série je n'ai lu que ceux scénarisés par Peru, qui se suivent (le tome 2 et le tome 8), et c'est Alfaric qui m'a dit que c'était tout à fait possible. Du coup comme le personnage de Fall est le personnage central des deux, je n'ai pas été du tout dépaysée.

Je me demande bien ce que ça peut donner de lire cette série dans l'ordre, du coup, car ça doit être un peu décousu, vu d'ici.

En tous les cas, ce tome-ci est vraiment un must-have de la BD fantasy, enfin je trouve. (Pour plus de précisions, lisez l'avis d'Alfaric, oui je sais c'est la solution de facilité, honte sur moi...).

Cette aventure, comme les six premiers tomes de cette saga, constitue un one-shot à elle toute seule et donc, ces six premiers peuvent se lire indépendamment les uns des autres. Il n’est pas dérangeant de commencer la lecture de cette saga avec un numéro intermédiaire.



Je n’apprécie pas la fantasy des masses en roman mais en BD, c’est un genre que j’apprécie beaucoup. De plus, j’ai eu un véritable coup de coeur pour la patte graphique de Stéphane Bileau. D’ailleurs, j’ai eu la chance de le rencontrer, de faire une mini-interview et de lui faire dédicacer mon exemplaire!



Cette BD, c’est tout bonnement un régal pour les yeux. J’applaudis non seulement le dessin mais également la colorisation. Le résultat est sublime!



[Avis complet sur mon blog]
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Encore un bel ouvrage dans la série Elfes. Et ces derniers ne cessent de nous étonner. Ici on sit la vie presque tranquille de Fall. Il traque le dragon blanc avec son père adoptif. Mais son amour pour les humains et son passé vont le rattraper. Car non Fall n'est pas comme tous les autres elfes blancs.

Un récit épique avec beaucoup de sentiments. Un elfe rendu très humain. Un tome unique auquel on voudrait lire une suite. Je ne suis pas déçue D'olivier Peru que j'avais découvert dans Martyrs (dont j'attends le deuxième tome avec impatience soit dit en passant^^)

• Elfes, Tome 8

• Peru (Scénario) & Bileau (Dessin)

• Editions Soleil



Dans ce huitième volume, nous allons retrouver un personnage que l’on connait et c’est pour le moment assez rare pour le souligner.



En effet, nous allons retrouver Fall l’elfe blanc et son dragon (blanc lui aussi). Et si Fall est un elfe blanc, niveau colère, il n’a rien à envier aux elfes noirs.

Depuis les évènements qui se sont déroulés dans le dernier tome le mettant en scène, Fall a radicalement changé. Fini la bonne humeur, place à une haine farouche envers les hommes.



Un tome sympathique qui fait partit des standards de la série.

Une guerre s'annonce et elle va commencer par l'ile des elfes blancs. Divisés après la mort d'Alyanna, Ils se sont réunis pour décider de la voie à suivre : maintenir leur neutralite et leur retrait total des querelles des mondes d'Arran, ou s'armer comme le souhaite Lyorghel (grand père d'Alyanna) voire anticiper d'éventuelles invasions à venir. Finalement Lyorghe,s'il n' obtient pas les pleins pouvoirs, il peut monter une troupe de jeunes guerriers à préparer à la guerre. Ceux qui veulent le suivre, peuvent le faire. Au même moment un navire humain accoste, ce qui est exceptionnel car les humains ne sont pas sensés connaitres les voies pour arriver à l'ile des elfes blancs. A son bord, une reine, Camilla, dont le petit royaume é été envahi par son voisin, aidé par un mage. Elle vient pour trouver de l'aide pour repousser les troupes de Tiburce le gros. Rapidement les elfes comprennent que la jeune humaine est envoutée par une magie noire mettant sa vie en danger. Des démons d'une autre dimension semblent vouloir s'inviter dans les mondes d'Arran....

Une intrigue "fil rouge" qui amorce ce nouveau cycle où une menace est détectée par les elfes blancs qui semblent fragilisés et divisés...

Après quelques confusions liées à l'intrigue qui fait suite aux multiples aventures vécues par Lyorghel (on est quand même au 33eme tomes des Elfes), ce tome est une mise en place de l'intrigue principale à venir - enfin si j'ai bien compris...

La mise en place est parfois délicate à comprendre car il est préférable de se souvenir des épisodes principaux, contrairement à un certain nombre de cette série qui peuvent se lire en one shot sans problème.

Les humains rendent responsables les elfes des derniers cataclysmes vécus dans les mondes d'Arran et semblent avoir décidé de les faire disparaitre, ni plus ni moins. Comment font ils? En s'alliant avec des démons...

A suivre.

En premier lieu, j'ai été surpris par la densité du récit et puis je me suis souvenu qu'Olivier Péru était aux commandes de ce tome.

Un récit dense donc pour une histoire qui ne l'est pas moins, mais qui sent le changement. Olivier Péru prend son temps pour amener ce changement. Le fait même qu'un personnage d'une autre série intervienne ici, et qui remplit un grand rôle, même si on pourra admettre que celui ci est réduit à la simple fonction de garde du corps, et c'est bien dommage, amorce ce changement.

Les évènements qui sont décrits ici montrent bien une volonté d'aller ailleurs, d'amener la série vers autre chose. Des personnages disparaissent quand d'autres apparaissent bien que ce ne soit pas si flagrant que cela. Je n'en mettrai pas ma main au feu.

Et c'est en cela qu'il est difficile de situer le récit d'Olivier Péru dans l'ensemble. Quelques éléments évidents donnent l'impression d'une transition, ou en tous cas d'une volonté de transition, et en même temps, celle ci se fait timide, pas franche. Sur ce plan là, c'est un peu mou du genou. On y va ou on n'y va pas....!!

On parle beaucoup, on retourne dans le passé, Alyana se retrouve le jouet d'une guerre qui remonte à ses aïeux et c'est toute la dynastie des elfes blancs qui est remise en question.

Même si ce tome reste de bonne facture, je n'y ai pas pris mon pied et n'y ai pas trouvé grand chose à me mettre sous la dent, et il ne restera pas dans mes souvenirs parmi les meilleurs....

Ce tome 23 est la suite directe du tome 18 qui était l'album le plus incompréhensible de la série "Elfes". Et celui-là n'est guère meilleur.

Déjà, depuis le premier tome sur les elfes blancs, j'ai un problème avec les dessins de Stéphane Bileau que je trouve particulièrement hideux, ce qui n'aide pas à entrer dans l'histoire.

Ensuite, à part les tomes 3 et 8 qui narraient l'histoire de Fall, la saga des elfes blancs est pour moi le point faible de la série "Elfes". Avec Alyana, ce n'est plus à une elfe qu'on a affaire mais à une super-héroïne typique des comics américains : invincible, surpuissante, bourrée de pouvoirs... bref, rien qui ne puisse m'intéresser.

Le seul point positif de cet album est la présence (comme dans le tome 18) de l'orkelin La Poisse. C'est là que je me rends compte que les séries "Orcs & Gobelins" et "Nains" sont devenues plus intéressantes que les trois dernières saisons de la série "Elfes".

Fall, l'elfe blanc, vit seul depuis la tragédie qui a décimé son peuple et dont il est en partie responsable.

Confronté à des chasseurs qui en veulent à son dragon, il va devenir une proie et devra lutter pour échapper à son sort.

Personnage ambigu, à la fois touchant et plein de colère, ses aventures qui se passent plus de 5 siecles avant la ligne temporelle des autres tomes, paraissent plus linéaires et simples. Mais ce n'est pas aussi simple que cela.

Décors détaillés, animaux fantastiques, histoire qui se tient bien et dans lequel les personnages sont bien caractérisés.

Trés bon tome de la saga.

La suie directe du tome 18.

Un tome très dense et complet. Qui aurait mérité quelques pages supplémentaires pour nous aider à intégrer toutes ces informations, actions, révélations, retournements de situation et approfondissement des personnages. Car il y a de quoi faire et on peut trouver ça un peu confus si on ne suit pas bien la lecture, ou un peu rapide surtout la fin. On aime quand la bataille finale prend un peu plus son temps pour que ça ne paraisse pas trop facile. Sachant que la fin est loin d'être bisounours ça contrebalance cette impression de facilité.

L'intrigue est très bien construite avec des informations données au fur et mesure qui donne toujours un nouveau visage. Le doute plane jusqu'à la fin.

J'aurais aimé que Alyana soit un peu plus détaillée. On connait ses turpitudes et ce qui la hante mais le récit est plus axé sur l'action. Mais elle est très intéressante alors on voudrait un peu plus.

Les dessins sont sublimes avec un belle colorisation, tout en restant assez typique de la fantasy.

« Elfes » est une looooongue série composée de plus de vingt tomes et qu’il faut aussi mettre en parallèle avec les séries « Nains » et « Orcs et Gobelins » qui se passent dans le même univers. Donc de la lecture, il y a ! De quoi toujours assurer les longues journées de canicule ou soirées d’hiver (qui seront de plus en plus rares), c’est selon.



Tout d’abord, je dois parler de la couverture de ce troisième tome. Elle attire l’œil ! Elle est efficace et donne le ton. Et l’elfe présent en impose aussi. Une bonne invitation à tourner les pages.



Et… on suit l’histoire d’un elfe, Fall, adopté par des elfes blancs. Qui part avec son père, le meilleur des pisteurs, à la chasse au grand et mystérieux dragon blanc. Suite à une rencontre malveillante avec une bande d’Orks, le père de Fall est blessé et doit retourner au pays. Fall fait alors équipe avec un humain qui, il y a des années, il a aidé à mettre au monde. Comme on peut maintenant s’en douter, tout ce récit se déroule sur plusieurs décennies. D’ailleurs, le passage du temps est difficilement visible (à part sur l’apparence de l’humain). Normal quand on sait que les Elfes vivent des siècles et que du coup un an ou dix ans pour eux, c’est peanuts !

Cette chasse fait traverser les territoires des Humains mais aussi des Orks. Donc on rencontre du monde et des paysages assez différents. Les dessins des paysages rattrapent des défauts dans la représentation des personnages : le même pouvant se retrouver avec une silhouette assez différente d’une case à l’autre. Ce n’est vraiment pas top mais on s’y fait.



Le personnage principal, Fall, est assez singulier. En tant qu’Elfe adopté. Il se pose toujours des questions sur ses origines, sur ses capacités, sur le monde des Humains qu’il aimerait mieux connaître, sur son lien avec le dragon blanc. Il évolue. Il devient moins candide et un poil plus rageur. Et il a de bonnes raisons. Mensonges, manipulations, incompréhension et solitude aussi font qu’il laisser parler le feu.



Ce tome est l’une des histoires les plus denses de ce début de saga. Les personnages sont mieux maîtrisés, sans non plus que ce soit trop poussé. L’action défile à toute vitesse sans que l’on se perde. Et avec cette fin, j’ai des raisons de croire que Fall fera des apparitions dans d’autres tomes. C’est un personnage qui mérite d’être suivi.

Je dois avouer que ce n’est pas non plus un chef-d’œuvre. Mais cette saga se suit avec plaisirs et donne envie d’en savoir plus sur les autres types d’Elfes.

Immortels, mémoire du monde et vivant en paix depuis longtemps, le Elfes blancs vivent reclus sur leur île tout en essaynt de protéger les créatures en voie d'extinction.

Fall et son père adoptif chassent depuis de nombreuses années le dernier Dragon blanc pour le mettre à l'abri sur leur île. Cependant, ce dernier est coriace et plusieurs efles ont déjà perdu la vie dans l'entreprise.



Un résumé qui ne me satisfait pas particulièrement car l'histoire est bien plus riche en assez peu de pages au final. Je commence à bien accrocher à cet univers. Le dessin est agréable, parfois inégal mais sur des détails. L'histoire est intéressante et originale car chaque volume est une tranche de l'histoire des elfes.

Bref, j'ai bien le principe, le personnage de Fall est touchant.

J'aime beaucoup même si ça mériterait d'être plus développé !

Ce troisième opus est bien plus sombre et funeste que les deux précédents. Sur fond de traque d'un dragon blanc, on découvre Fall, un elfe blanc dont le passé trouble se dévoile au fur et à mesure de ce tome. Les dessins et l'univers sont toujours aussi magnifique, l'histoire est prenante. Une digne "suite" de cette mini série.

C’est un recueil de contes autour de la Brocéliande fait par plusieurs plusieurs dessinateurs. Les différents contes semblent avoir quelques inspirations comme le conte d’Hansel et Gretel. Il parle aussi de la naissance du mythe des fées. J’aime assez les différents dessins.

Ma chronique :
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Après deux tomes au scénario un peu convenu, voici une première belle originalité dans la série des elfes, avec un scénario ficelé comme une tragédie grecque, qui réserve son lot de surprises.

La beauté aristocratique des elfes blancs est confrontée à la laideur du monde (humains, orques), tant dans la noblesse de leur quête et de leurs îles, que dans le terrible destin qui les attend aux mains de leurs ennemis.



Même si je ne suis pas fan du coloriage, souvent trop monochrome à mon goût, je dois reconnaitre que le dessin est superbe, la plume est poétique, et le dragon qui est le fil rouge de ce récit est somptueux.



Les thèmes tissés dans le scénario sont riches et bien tressés entre eux : la quête, la fusion avec la nature, la malédiction, l'adoption, l'acceptation de son destin, et à chaque fois ils sont traités avec dualité. bravo.

Des couleurs chatoyantes, un scénario qui tient la route, un cadrage dynamique... Cette BD a tout pour plaire. J'aime bien également le côté sombre de Merlin, personnage emblématique, qui mène la barque de cette histoire qui s'appuie littéralement sur les fondements de la culture celtique.



C'est vrai que les légendes arthuriennes et la quête du Graal ont déjà fait l'objet de pas mal de publications dans le monde de la BD et qu'on peut ressentir un sentiment de saturation. Mais cette lecture se révèle finalement assez distrayante même si elle n'offre pas de véritable révolution en la matière.



La nouveauté vient ici du fait qu'on se situe au-delà de l'aventure épique pour se center de manière réaliste sur les interractions personnelles des personnages du cycle arthurien (Arthur, Merlin, Guenièvre, Lancelot, Perceval, Mordred). Des surprises sont ainsi réservés aux lecteurs. A vous de les découvrir!

Suite des aventures d'Alyana, elfe blanc, fille de Fall.

Après un tome très onirique, un peu touffu, Alyana cherche à dénouer ce qu'elle a provoqué : arrivée des géants en Arran. Nouvelle bataille en cours et découverte du nouvel ennemi, méchant en chef, l'haruspice.

Alyana alias Captain Marvel? Ultra puissante, elle a quand même un peu de mal avec ces géants et doit faire face à une suspicion généralisée.

Pointe d'humour avec le personnage de la Poisse.

Pas mal.

Qu'est-ce que c'est sombre ! C'est toujours un plaisir de suivre la série. Chaque tome est une histoire différente, un genre particulier et une mise en évidence d'un trait d'un peuple. Fall est élevé au milieu des elfes blancs immortels et sages mais il est aussi un adopté de ce peuple. Il va partir en quête du célèbre dragon blanc, seul survivant des temps immémoriaux. Ce héros sort du lot des elfes blancs car il ne fait rien comme tout le monde. Relié intimement à ce beau dragon blanc, il aime ses prochains, elfes comme humains, chose inacceptable par ses pairs. J'ai beaucoup aimé voir le temps s'écouler entre les hommes et les elfes. C'est une quête de soi pour le meilleur comme pour le pire.

Je n'ai jamais été attirée par les légendes du roi Arthur, que ce soit films, BD, livres... A part bien sur la série Kaamelot parce que c'est vraiment trop drôle.

Ici ce sont les dessins qui m'ont décidé à tenter l'aventure. Ils sont beaux, colorés et je ne sais pas pourquoi donner une ambiance un peu moins dramatique à l'histoire. Mais j'ai été déçue. Point d'humour dans cette série. Cette histoire est triste. Voire un peu compliquée et j'ai eu du mal à suivre les desseins et les buts de chacun.

Autrement les personnages sont plutôt bien fait, complexes. On découvre même une Guenièvre guerrière et indépendante (oui oui je sais moi je la voyais nunuche avec une voix haut perchée^^).

Finalement une histoire basique sur le roi Arthur. Rien de nouveau.