Le putch avait échoue, mais la nouvelle avait autant secoué l'Empereur que l'annonce des pertes du jour contre les Russes. Voilà que, harcelé par l'armée de Koutiusov, il se trouvait en plus menacé au cœur de son pouvoir. À Caulaincourt, il avait jeté : "Avec les Français. Il faut, comme avec les femmes, ne pas faire de trop longues absences."