Il ne méprisait aucun emploi, assumait correctement chacun de ceux qu'il trouvait, en changeait sans état d'âme. Il gagnait ce qui lui était nécessaire pour assumer sa survie, son indépendance, et organiser de temps en temps une fête à laquelle il conviait ses amis, un banquet de vins, de chants et de déclamations, de danses et de jeux,...Il qualifiait ces soirées de "coups de paradis"...