La presse locale se réjouissait du malheur des autres, trop ravie d’offrir des articles croustillants à des lecteurs friands de se genre d'événements. Des clichés représentant le corps sans vie de Marc Cornelli le firent sortir de ses gonds. Comment pouvait on a ce point être irrespectueux ? Le directeur de cette feuille de chou mériterait de présenter des excuses. Cet acte ternissait l’image de la profession ainsi que celle d’Avignon et de ses alentours.