C'est seulement qu'un moment, les gens, on ne peut plus rien pour eux. Rien pour les sortir de là où ils crient pourtant fort et disent "sauvez-moi", ils le disent, oui, mais tout leur corps tire dans l'autre sens et on ne peut rien contre ça non plus, contre le verre cassé qu'on traîne avec soi, un peu comme le bruit d'un miroir brinquebalant sur un mur, un bruit contre lequel il est quelquefois impossible de lutter.