Chaque fois qu'un oiseau est tué, chaque fois qu'une forêt brûle et, surtout, chaque fois qu'une espèce animale ou végétale disparaît, l'humanité voit ses chances de survie réduire.
Que faire pour empêcher ce lent suicide? Que faire pour que la nature survive?
Nous ne savons même pas ce qui se passe dans la nature, comment pourrions-nous prédire ce qui se passera sous l'influence de l'homme?
Un fait cependant s'impose à nous, dès que nous nous lançons sur les traces de la connaissance oubliée : LES VEINES DU DRAGON ONT ÉTÉ EXPLOITÉES PARTOUT À LA SURFACE DU GLOBE !
En Europe, en Asie, en Mrique, en Amérique centrale, des monuments attestent cette vérité. La science moderne prouve que certains dolmens
ou menhirs n'ont pas été implantés au hasard, mais sur des points de focalisation d'énergie, que des détecteurs électroniques révèlent.
Isis, la Terre Mère, commence à livrer ses secrets et à soulever son voile. Bien des surprises nous attendent, quand nous seront connues les conclusions de certaines études « discrètes » actuellement en cours ...
Aujourd’hui, sur les cinq continents, quelles que soient la nationalité, la religion, l’influence de la dénomination politique, quel que soit le degré de civilisation, il existe plusieurs dizaines de milliers de personnes, peut-être des millions, qui possèdent une compréhension commune qui va au-delà des idéologies, qui défie les dogmes scientifiques et qui, à un degré jamais atteint auparavant dans les relations d’un monde multiracial, est en concordance avec une doctrine solitaire : UNE CROYANCE DANS LES VISITES FAITES À NOTRE PLANÈTE PAR DES INCONNUS VENANT D’UN AUTRE ESPACE.
L’histoire de l’humanité nous prouve que l’homme a toujours trouvé plus qu’il ne cherchait. Les grandes découvertes ont souvent été faites contre le sens commun. C’était aller contre le sens commun que d’affirmer, voici quatre siècles, que la Terre tournait autour du Soleil ! Mais encore faut-il distinguer entre le sens commun et le bon sens. C’est le bon sens qui, s’appliquant mieux au détail et au fond des choses, va souvent contre le sens commun qui n’est que la première impression.
L’écriture est sans conteste la première des formes évolutrices des grandes civilisations. Grâce à elle, nous possédons des archives historiques concernant le problème des O. V. N. I., qui viennent recouper les preuves archéologiques que nous connaissons déjà. En ayant recours aux textes du passé, nous pouvons comprendre d’une manière parfaite l’évolution du phénomène au cours des âges. Les auteurs et les historiens d’hier nous ont légué dans leurs œuvres, des preuves indiscutables que les soucoupes volantes sillonnèrent nos cieux, il y a deux mille ans !
Avant les archéologues, qui recherchent dans les vestiges du passé les preuves que jadis, des êtres d’un « autre espace » sont venus ici-bas, avant les chercheurs qui se livrent à de très nombreuses études sur les engins célestes d’origine inconnue, il semble que ce soit les poètes, qui les premiers aient pressenti l’incroyable vérité que nous connaîtrons un jour prochain. Gérard de Nerval n’écrivait-il pas au siècle dernier :
Ils reviendront ces dieux que tu pleures toujours. Le temps va ramener l'ordre des anciens jours.
Le problème des Objets Volants Non Identifiés est, selon nous, intimement lié à celui des civilisations disparues ; or, à quelques kilomètres de Vence, sur un plateau, en pleine montagne, existe un lieu magique que les paysans désignent sous le nom de « Village Nègre », et même « Plateau de la Lune ». Là, à Saint-Barnabé, un champ d’idoles sculptées se dresse face à notre civilisation et présente aux visiteurs de fantastiques pierres qui paraissent avoir subi un
Notre planète est parcourue par un réseau de courants électriques qui est en quelque sorte son système nerveux, avec des centres (chakras) et des zones d'influence. Les Indous désignent sous le nom de fluide akasique les différents courants qui circulent dans le sol. Les Anciens nommèrent ces innervations invisibles : LES VEINES DU DRAGON.
Pendant plusieurs millions d’années, la vie terrestre fut dominée par une population d’animaux divers qui régnaient en maîtres sur un monde à peine sorti de son enfantement. Certains reptiles géants promenaient leur tête à vingt mètres au-dessus du sol. Les uns ressemblaient à des dauphins armés d’une gueule de crocodile et patrouillaient en plein océan, comme nos actuels torpilleurs. D’autres scrutaient l’horizon avec des yeux gros comme des phares d’automobile. Il y en avait qui se déplaçaient dans les airs avec autant d’agilité que nos rapaces d’aujourd’hui.