Ces hommes tuaient et mouraient parce qu'ils auraient été gênés de ne pas le faire. C'est ce qui les avait conduits en premier lieu à la guerre, rien de positif, pas de rêve de gloire ou d'honneur, seulement éviter la honte du déshonneur. Ils mouraient pour ne pas mourir de honte. (...) Ce n'était pas du courage à proprement parler ; leur but n'était pas l'héroïsme. Ils avaient seulement trop peur pour être des lâches.