Il y avait aussi des gens que cela changerait un peu de la pauvre vie-de-chien qu'ils menaient dans leur patelin de vieux bonhommes, une dactylo quelconque, à qui la vue de l'autobus inspirerait... un certain frisson, ou du moins quelque désarroi devant cette invitation au voyage. Dans l'un ou l'autre des cas, se disaient les Voyageurs Intrépides, il restait un espoir. Ces gens-là n'étaient pas complétement perdus.