Lorsqu’on n’a plus rien, on est seulement riche de sa respectabilité et de son honneur. On peut revenir de l’enfer, de la mort, de la faim qu’on trompe en mangeant de l’herbe accroupie comme une bête, on peut revenir de la malaria, du typhus, on ne se remet pas d’être une mauvaise femme.