Née en 1959, autodidacte, Véronique Gentil est peintre, poète et écrivain. Elle vit et travaille sur les bords de la Charente et le fleuve en crue irrigue son écriture et son regard sur le monde.
« Les heures creuses » est une réflexion poétique, simple, profonde et sensible sur la création, la peinture mais aussi la nature, les paysages, le souvenir et l’absence. Le lecteur met ses pas dans les empreintes de l’auteur et la suit dans ses heures creuses, pleines d’un silence créatif, germe d’une œuvre à venir.
Un mot sur les éditions Pierre Mainard puisque c’est la première fois (mais pas la dernière) que je vous présente un livre de cette maison. Les éditions Pierre Mainard doivent leur nom à une nouvelle de Borgès, génial écrivain, ce qui est déjà de bon augure. Les éditions Pierre Mainard font de très beaux livres, de petits formats pour la plupart, imprimés sur un papier épais d’une jolie couleur crème et les cahiers sont cousus mains. Tout ça pour dire que ce sont de beaux objets qu’on est content d’avoir dans sa bibliothèque mais aussi de prêter ou d’offrir. Leur catalogue est international et plutôt axé sur la poésie avec un lien de prédilection avec les arts plastiques.
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