Les grandes villes sont dures pour le coeur. Elles faussent les rapports entre les êtres, nourrissent l'indifférence et accentuent les disparités. La société de consommation y est poussée à l'extrême et le superflu devient très vite essentiel. D'où tant de malaise et de mal-être. J'aime être à la campagne. Les choses et les gens y sont plus vrais.