Je comprends enfin pourquoi il trouvait tant de réconfort dans ces veine de charbon. Elles étaient tangibles, de même que les chariots, et les mules, et les hommes. On pouvait les toucher, les déplacer, pas comme ce courant qui se déploie dans les câbles et que j'admire tant. Son charbon était pareil au maïs dans les champs, aux vaches à l'étable, aux chiens dans le chenil : des choses concrètes qu'on peut sentir avec ses mains, voir avec ses yeux, humer, entendre, goûter. Il y a de la satisfaction dans cette matérialité.
J'aimerais pouvoir lui dire que je comprends.