Il se sentait comme un homme entouré d’animaux relativement aimables, un peu gauches et moyennement intelligents, qui découvre peu à peu que leurs concepts et leur relations sont beaucoup plus complexes que son éducation ne pouvait lui permettre de le supposer. Un tel homme peut finir par découvrir que, selon qu’il emploie telle ou telle des nombreuses formes de jugement et d’évaluation qui sont l’apanage d’une intelligence supérieure, les animaux qui l’entourent, qui souillent leur propre tanière et mangent leurs propres excréments, pouvaient être plus heureux ou plus sages que lui.