J'étais quelque chose posé au soleil, et qui le recevait, tout comme les citrouilles, et je ne souhaitais rien d'autre. J'étais complétement heureux. C'est peut-être comme cela que nous nous sentons lorsque nous mourrons. Nous devenons alors une partie d'un immense tout, que ce soit le soleil et l'air ou le bien et la connaissance. De toute façon, c'est le bonheur ; se dissoudre dans la totalité et l'immensité. Quand ça nous arrive, cela vient aussi naturellement que le sommeil.