Là où s’étendait la mer, le temps et l’espace se faisaient toujours si lents.
Les oiseaux volaient paisiblement, les vagues blanches s’élevaient avec douceur.
Le souffle de l’océan semblait m’emporter loin, très loin.
Je n’oublierai jamais ce parfum intrigant qui hantait les collines et les champs verdoyants. Rudesse, courage, pureté de cœur, joie traversaient les montagnes et les forêts.