Yann Autret

Très beau livre! très bien dessiner, les dessins sont assez original .



Bien qu'il y ait peu de pages , il n'en fallait pas plus.

Peut-être plus d'écriture aurait été mieux.

Mais on comprend parfaitement ce que l'écrivain veux raconter.

Très bien pour les enfants en primaire ou même pour les bébés.

Un livre court sur l'enfance et l'évolution de l'enfance selon les générations.

Quelques clichés et blagues attendu.e.s mais une belle morale tout de même.

Le vocabulaire est plutôt simple et les quelques mots méconnus, peut-être, des enfants sont expliqués d'une manière plutôt rigolote.

Les illustrations ne sont pas omniprésentes et plutôt bien choisies.

Posé sur étal de livres pour presqueriendutout, ce petit ouvrage a été choisi juste pour le titre qui poutre.

L'histoire ? C'est le jour honni des courses et Mélusine et ses enfants doivent vestir armes, armures et gobelins compagnons pour traverser une forêt de mille et un dangers pour y accéder.

Si le concept de Barbare médiéval affrontant son quotidien, comme Boulet l'a décliné avec succès sur son blog, avait tout pour me plaire, au final on affronte une succession de monstres c'est donc très linéaire et longuet, malgré l'épaisseur du livre. On aurait pu lier ce bestiaire avec des événements concrets j'aurais plus accroché je pense, là j'ai vaguement cru comprendre que dans cette péripétie pour aller au supermarché il y a eu coiffeurs, magasin de parfum et quelques heures d'école, mais c'était pas super clair (faut dire, lassée j'ai décidé d'invoquer le djinn de la lecture rapide et j'ai déchiffrer le texte en diagonale)(ca explique peut être l'opacité de l'aventure). Le style parfois nous offre de belles phrases, c'est presque étonnant ces étincelles de poésie de mots. Le tout est sauvé (outre la super Mélusine-maman du récit) par les illustrations de l'auteur, simples mais très sympathiques.



Et donc le lutin reclus féru de lecture que je suis n'a pas trouvé ça fantastique du tout et a souffert pour venir à bout du bouquin. Néanmoins mon faune (8 ans et demi)(super branchée D&D ces temps) l'a beaucoup aimé et l'a lu il me semble deux fois plus vite que moi.

Abélard déménage avec ses parents pour habiter dans une tour. Lui qui rêve de chevaliers, la déception est grande lorsqu’il découvre la tour HLM, lui qui se voyait déjà dans un château médiéval. Heureusement, il va rencontrer sa voisine du dessous, Héloïse. Celle-ci a un étrange ami qui vit sur le toit de cette tour : un singe géant. Ami imaginaire ou fantastique, inspiré du fameux King Kong, c’est l’occasion d’une suite de gags, de situations rocambolesques, farfelues, loufoques. Le dessin est brut, les tignasses ébouriffées, un peu tout fou, mais avec un singe très réaliste qui contraste avec les situations qui le sont bien moins. Beaucoup d’espièglerie avec des personnages pleins de vie, c’est une lecture rafraîchissante et pétillante.

Pour lecteurs à partir de huit ans.



Le narrateur est un petit garçon, qui, comme les autres enfants de sa classe, doit déposer ses parents à l'école avant d'aller à la sienne.



Les parents y prennent des cours d'enfance : déguisement, école buissonnière, crottes de nez...



Bon, je vais la faire courte, je n'ai trouvé ce roman ni drôle, ni intéressant. Trop de clichés, pas assez d'intrigue à mon goût.



Par contre, il date de 1988, et j'ai vu que Yann Autret avait à présent une quarantaine de romans jeunesse à son actif, alors je retenterai ma chance avec lui un de ces quatre sur une production plus récente, histoire de lui laisser une seconde chance et de voir comment il a évolué...

Abelard déçu d'emménager dans une tour d'immeuble et non une tour d'un château fait la rencontre d'Héloïse sa voisine à l'imagination débordante. Elle lui fait découvrir cette tour de haut en bas : les escaliers, la cave et ses animaux de compagnie, ainsi que ses astuces pour aller à l'école ou à la boulangerie.

J'ai aimé ce dessin esquissé tout en pastel.

C'est une jolie histoire, pleine de poésie et d'humour qui plaira autant aux enfants qu'aux parents.

Il faut lire ce court récit, roman, conte... avec des yeux d'enfants. Le gros problème de Gudule, l'auteure, c'est de faire court. Trop court. Que nous raconte-t-elle? Un enfant abandonné par les adultes, les humains, et recueilli par des animaux et qui grandit au point de briguer le poste de chef... Il apprend le langage des animaux, il affronte les dangers, préserve ses amis, fait preuve de courage et d'audace... Et il rencontre enfin l'amour mais il reste parmi les animaux...



A l'exception de la fin, à quoi cette histoire fait-elle penser? A Mowgli et au livre de la Jungle, rien de moins. Là où Kipling fait rentrer Mowgli dans le rang en lui faisant découvrir les filles, Gudule nous assure que l'enfant choisira sa mère affective et non pas sa mère biologique. Et qu'il fondera un foyer parmi les animaux qui l'ont recueilli. Sauf que ce ne sont pas des loups, ce sont des ... lapins.



Eh oui, des lapins. Et en peu de pages (trop peu à mon avis, je le répète), Gudule aborde des thèmes aussi divers que la société de consommation, l'abandon, l'adoption et le développement de soi. Elle le fait avec un goût immodéré du non-sens et d'un humour surréaliste renforcé par de très chouettes illus de Yann Autret. La prochaine fois que je roulerai sur l'autoroute, je ferai plus attention, peut-être aurais-je la chance de voir Autorouteman et sa compagne, la reine des lapins de l'autoroute.

Ce petit documentaire reprend plusieurs mythes grecs (la liste est visible sur la couverture) pour ensuite en expliquer la morale, avec des exemples tirés du quotidien ou de la scolarité d'un enfant / ado pour la rendre plus compréhensible.

Une bonne idée pour décrypter certains mythes et aborder des questions de philosophie avec des enfants ou ados.
Lien : http://ocalypso.canalblog.co..

Un petit album original, sympathique et amusant, de la regrettée Gudule.

Enfin, je pense que je l'aurais trouvé sympathique et amusant, si les illustrations étaient autres.

Je sais que "des goûts et des couleurs, on ne discute pas" comme on disait quand j'étais petite.

Mais je trouve ces dessins tellement moches que ça m'en a perturbé toute la lecture !

Impossible de me plonger dans l'histoire en voyant ces horribles personnages !

J'aurais presque envie de dire : quand on ne sait pas dessiner, on fait comme moi, on s'abstient !! Navrée, mais c'est l'effet que ça me fait.

(Je sais, on ne doit pas dire moches, mais ça ne me plait pas. Je le répète assez à mes petits enfants ! Mais ici, je n'y arrive pas !!)

Pourtant le texte est drôle.

Rémi a deux soeurs : Aglaé, la grande, 10 ans et déjà très pré ado. Et Lou, 8 ans, très petite avec de très grands pouvoirs.

Pouvoir d'arrêter le temps en quelque sorte. Pouvoir intéressant mais qu'elle ne maîtrise pas vraiment.

D'où des situations assez ubuesques.

Du fantastique donc, comme souvent chez Gudule, de l'humour, un texte simple, une chouette première lecture.



C'est apparemment le début d'une série, mais je n'ai jamais vu les autres.
Lien : https://livresjeunessejangel..

En tant que maman, je n'ai pas du tout aimé ce livre.

L'histoire d'un petit garçon qui tombe de la voiture, qui est bloquée sur l'autoroute par les embouteillages et qui va se prendre pour un lapin !

Et pourquoi il n'était pas attaché ce petit garçon ?

Alors à la limite, sur le dernier chapitre, l'auteur l'aurait fait se réveiller dans la voiture bien en place et l'enfant aurait tout imaginé, pourquoi pas. Encore que le reste de l'histoire n'est pas très amusante.

Les illustrations ne sont pas très fines. Je les trouve même assez tristes.

En ce qui concerne le ressenti de mon enfant, heureusement que le livre est assez court car il s'est ennuyé.

À lire à partir de 9 ans, mais pas une année de plus.

Il faut reconnaître aux auteurs l’originalité de leur scénario, organisé en planche gags (et qui comporte donc un titre en haut de chaque page), mais c’est surtout le traitement graphique de cette histoire qui m’a bluffé. Yann Autret mélange les styles. Son trait est parfois esquissé, crayonné donnant du rythme, de la vitesse à l’image, mais il sait aussi poser sa plume le temps d’étaler un paysage, ou un singe immense. Parfois sur fond blanc pour mettre en avant une émotion, parfois pleine page ou en comic streep… les dessins accrochent le récit, lui donnent une âme.



Une très très belle découverte que je recommande vivement à partir de 8/9 ans.



[Chronique complète en cliquant sur le lien]
Lien : http://boumabib.fr/2019/05/2..

J'ai découvert cette bande dessinée lorsqu'en janvier je suis allée au festival de BD d'Angoulême.



En me baladant dans les rayons, j'avais ouvert cette BD au milieu et j'avais vu cette petite fille dire à son copain: "je te présente Kong-Kong". J'ai craqué pour cette petite et pour ce singe au trait grossier.



Finalement après avoir lu cette BD, je ne sais pas où elle a voulu m'emmener. C'est une histoire d'enfant mais on dirait que l'auteur a voulu nous faire passer un message, sauf que celui-ci n'est pas aboutit.



L'explication au fait qu'un énorme singe vit sur le toit, tient à la déforestation... hmmm ok ! Pourquoi pas ? Mais la réflexion n'est pas réellement poussé.



Finalement les dessins pour lesquels j'étais emballé n'auront pas rattrapé l'histoire..



Elise__♥

Une BD décalée et pleine d'humour, très sympa !

Les gags font mouche, l'ensemble est très vivant et le charme agit incontestablement même si on a, depuis longtemps, dépassé la tranche d'âge du public-cible. Une petite perle d'humour et de gentillesse qu'il n'est pas trop tard pour découvrir...


Lien : http://www.auracan.com/album..

Lorsque les parents d'Abélard lui annonce qu'ils vont déménager dans une tour, l'imagination du petit garçon s'emballe. Il se voit déjà devenir un preu et fier chevalier partant en croisade. Quelle n'est pas sa déception lorsqu'il comprend qu'au lieu d'une tour de château fort, il s'agit d'une tour d'immeuble haute d'une centaine d'étages (et dont l'ascenseur est toujours en panne). La morosité et les habitudes d'Abélard se trouvent rapidement bouleversées quand il rencontre Héloïse, qui vit juste en dessous de chez lui.

Réalisée à deux mains par Yann Autret (scénario) et Vincent Villeminot (scénario et dessins), cette bande-dessinée est un petit bijou de poésie. Derrière l'histoire d'amour faussement naïve d'Abélard et d'Héloïse (si je vous ai spoilé, je suis au regret de vous informer que vous devriez réviser vos classiques), il s'agit d'une ode au pouvoir de l'imagination face au béton et à la grisaille de la ville. le fait que les dessins ne soient pas enfermés dans des cases renforce cette idée d'onirisme et d'échappée belle.

À destination d'un public jeunesse, le style faussement naïf des dessins ne doit pas pour autant faire oublier qu'il s'agit d'un livre à double sens, dont la profondeur pourrait échapper aux jeunes lecteurs. Il me paraît donc utile de revenir avec eux sur ce qu'ils ont compris et ce qu'ils pensent de cette histoire. En plus de cela, c'est un très bon exercice de reformulation et de développent de l'esprit critique.

En résumé, "Kong-Kong, le singe sur le toit" est une très belle bédé qui fait rêver et pousse à se questionner sur l'absurdité du mode de vie citadin.

Mention spéciale aux personnages d'Abélard et d'Héloïse qui cassent les stéréotypes liés aux genres.

J’aime bien les histoires avec les singes. Surtout quand leur présence est inattendue. Je ne saurais pas trop expliquer pourquoi. Peut-être les multi-visionnages de « Doux, dur et dingue » le film où Eastwood est accompagné d'un orang-outan. Ou peut-être simplement que j’aime bien les grosses bouilles des primates. Quoi qu’il en soit, cette affection simiesque m’a tout naturellement incitée à emprunter cette B.D du rayon jeunesse. « Kong-Kong, le singe sur le toit » est une bien étrange lecture. Très sympathique et plutôt réussie mais assez bizarre.



Le crayonné de Yann Autret est simple et très efficace. Les personnages ont des frimousses qui attirent la sympathie sans aucune mièvrerie. Le gorille géant est particulièrement réussi, à la fois attachant et féroce, le côté sauvage du grand singe est respecté. La mise en page et le découpage sont pertinents. La colorisation est elle aussi très réussie, simple et belle. Visuellement, ce n’est peut-être pas très original mais c’est du bon travail, agréable à l’œil.



Si « Kong-Kong, le singe sur le toit » est visuellement réussi tout en étant très classique, c’est surtout le scénario qui interpelle le lecteur. Apparemment Vincent Villeminot est romancier et c’est là sa première bande-dessinée. Je ne connais pas l’auteur, je ne pourrai donc pas faire de rapprochements ni de comparaisons entre ses romans et sa B.D. Je ne sais même pas dans quel registre il écrit. En tout cas, avec « Kong-Kong, le singe sur le toit », Villemot propose une B.D jeunesse intéressante. Cette ode à l’imagination fourmille d’idées inventives, de situations amusantes ou émouvantes. Mais si les petites histoires racontées dans l’album sont très plaisantes, elles ont un ton assez singulier, qui ne dédaignent pas l’humour noir, sont parfois étrange, voire même font preuve au détour d’une case ou d’un dialogue d’une certaine noirceur. Du coup, je me demande quel est le public véritablement visé par cet ouvrage.



« Kong-Kong, le singe sur le toit » est donc un album intéressant qui peut permettre à de jeunes enfants de découvrir une B.D moins formatée que ce qu’on trouve en général dans les rayonnages jeunesse.

Cette BD est tout simplement hilarante, mais je pense que l'auteur pouvait faire mieux. Je mais 4,5.

Abélard emménage dans une tour très très très haute et tout en haut vit le copain de sa nouvelle voisine Héloïse, un gorille vraiment très très très gros !

C'est drôle, décalé, plein d'imagination et de fantaisie. Complètement à part, j'adore.

Abélard et Héloïse, deux enfants deux mondes qui se rencontrent, se découvrent... Courage, prudence, poésie pour l'un, fantaisie, témérité, surprise pour l'autre... C'est plutôt Abélard qui vient d'emménager dans l'immeuble d'Héloïse qui va aller à la découverte de son univers tout en y apportant un irrésistible souffle de poésie et un brin de loufoquerie.

Le dessin et les dialogues rendent très vivantes et contrastées, les situations proposées ...

La professeuse documentaliste

Abélard et Héloïse, deux enfants deux mondes qui se rencontrent, se découvrent... Courage, prudence, poésie pour l'un, fantaisie, témérité, surprise pour l'autre... C'est plutôt Abélard qui vient d'emménager dans l'immeuble d'Héloïse qui va aller à la découverte de son univers tout en y apportant un irrésistible souffle de poésie et un brin de loufoquerie.

Le dessin et les dialogues rendent très vivantes et contrastées, les situations proposées ...

La professeuse documentaliste de cdicollegeguisthau